Xavier Kemlin a décidemment de la suite dans les idées ! Sa première plainte déposée au mois de mars de cette année ayant été classée sans suite par un parquet de Paris aux ordres de Christiane Taubira, ce citoyen ordinaire, aujourd’hui exilé en Suisse, vient de recevoir cette fois une réponse préalable favorable lors du dépôt de sa seconde plainte pour détournements de fonds publics contre Valérie Trierweiler, la concubine de François Hollande.
Hébergée comme une princesse aux frais de la république, celle qui n’est pourtant dépositaire d’aucune autorité ou légitimité publique, est systématiquement invitée lors des cérémonies ou des voyages d’état (elle sera encore présente aux obsèques de Nelson Mandela en Afrique du Sud) alors qu’elle ne dispose on l’a dit d’aucun statut légal, est toujours journaliste salariée à Paris Match mais dispose de bureaux à l’Elysée et de six conseillers en communication grassement payés par les contribuables pour faire sa promotion, alors qu’elle n’est donc qu’une maitresse officielle de notre monarque républicain qui vit aux crochets de la collectivité (sur ce point fort peu glorieux au moins, Hollande s’avère être un disciple particulièrement fidèle de François Mitterrand).
Pour expliquer le bienfondé sa plainte, Kemlin a notamment déclaré : « Je ne suis pas d’accord pour payer une dame avec laquelle je n’ai aucun lien juridique » ou encore « Il vit depuis plusieurs années en concubinage, il a le droit. Mais comment les Français peuvent-ils avoir confiance en quelqu’un qui est incapable de prendre un engagement vis-à-vis d’une femme ? Comment peut-il prendre des engagements vis-à-vis des Français ? »,
Il est vrai que si nos deux tourtereaux totalement illégitimes (rappelons tout de même que Valérie Trierweiler est toujours mariée) décidaient enfin de régulariser leur situation, le président de Hollandie serait aussitôt (et comme cela aurait déjà été le cas avec Ségolène Royal) et compte tenu des patrimoines conséquents du couple adultère, redevable de l’ISF (impôt sur la fortune)… Un comble pour un président « normal » socialiste qui « n’aime pas les riches », convenons-en !
Marc LEROY – La Plume à Gratter
Commentaires récents