Serge Ayoub, ex-leader de Troisième Voie et membre du mouvement Solidarisme, a répondu au manifeste d’Aymeric Chauprade au travers d’un article intitulé « Les errements de la doctrine Chauprade ». Posté par : AgenceInfoLibre 19-08-2014
Le 18 août 2014, Michel de Rostolan recevait dans son libre journal le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme, l’historien Philippe Lamarque et l’essayiste Thierry Gobet. Le débat portait sur le thème suivant : « Réflexions sur les responsabilités historiques des désordres contemporains ». L’occasion d’évoquer plusieurs évènements historiques récents ou plus anciens : les attitudes souvent lamentables des responsables politiques qui ont souvent et jusque très récemment conduit à la tragédie, comme lors de la guerre d’Irak (avec ses répercussions actuelles), l’intervention en Libye ou la situation ukrainienne avec la russophobie délirante qui l’accompagne, toutes aventures et prises de positions géopolitiques ou militaires ayant mené au chaos, ou, plus avant, les origines et les terrifiantes conséquences de la première guerre mondiale, et jusqu’aux véritables origines de la Révolution Française, favorisée et financée par l’Angleterre. Un passionnant débat sur la responsabilité ou plutôt l’irresponsabilité de nos gouvernants et sur leurs...
Note de La Plume : votre serviteur, déjà sacrément secoué par la sortie pro LDJ de Marine Le Pen, est désormais KO debout suite à la récente et invraisemblable tribune géopolitique d’Aymeric Chauprade, tribune mélangeant à peu près tout et n’importe quoi : Sur un plan intérieur – et tragiquement – la lutte contre l’immigration de masse (lutte totalement légitime et ô combien nécessaire, après des décennies de démission et de trahison de nos « élites », trahison entraînant le grand remplacement de population mortifère pour notre culture et nos valeurs aujourd’hui en cours en France) et une islamophobie monomaniaque et manichéiste directement issue du fumeux Choc des civilisations prétendant justifier, au nom du con-cept (en deux mots, et c’est exprès) de l’ennemi commun, une solidarité presque viscérale avec le sionisme israélien... Sur le plan extérieur – et lamentablement – un juste soutien des populations (chrétiennes mais aussi, on a tendance...
Richard Labévière (que les lecteurs assidus de La Plume connaissent déjà) est un grand journaliste, spécialiste du Moyen-Orient et du monde arabe. Son CV est éloquent : Tour à tour rédacteur en chef de RFI, chef du service étranger, éditorialiste international, ce diplômé en sciences politiques, histoire et philosophie des universités de Paris I (Panthéon-Sorbonne), Genève et Grenoble, est aussi l’auteur de plusieurs livres qui ont fait référence, notamment sur les liens du terrorisme islamiste avec l’Arabie saoudite et la CIA (1), ou sur le Moyen-Orient, la Syrie et le tragique destin des chrétiens d’Orient (2). Rédacteur en chef de Radio France International (RFI), et jugé trop critique à l’égard de la politique de l’état hébreux, il est dans un premier temps, mis sur la touche en 2003 et suite à une intervention personnelle de l’ambassadeur d’Israël de l’époque, Nissim Zvili. Puis en 2008, en plein mois d’août, il...
Gilbert Collard, Député du Gard, était l’invité de Jean-Jérôme Bertholus sur le plateau de la matinale info d’i>Télé. Note de La Plume : ça partait pourtant très bien, tant qu’il s’agissait d’évoquer le retour et le bilan sarkozien. Et puis, à la fin, c’est la sortie de route lamentable, impardonnable, sidérante sur le conflit israélo-palestinien. Je cite : « Israël existe on ne doit pas y toucher… » Mais la Palestine n’existe pas, donc du coup on peut massacrer allègrement les Palestiniens ? Et cela fait plus de 60 ans que ça dure ! « …Or le Hamas ne reconnaît pas Israël »… La bonne blague et l’habituelle tarte à la crème des pro-sionistes ! Parce qu’Israël reconnait la Palestine, peut-être ? « Le Hamas déclenche les hostilités » … On rêve ! Les Palestiniens sont spoliés depuis des décennies, on les colonise en leur prenant illégalement leurs terres, leurs maisons, leur eau… On les enferme derrière un...
Quelles sont les limites des mouvements de « solidarité »? Les actions et les engagements « politiques » exigent que les citoyens s’assurent que leur propre autonomie et leur espace de liberté d’expression ne soient entravés d’aucune manière, par des intérêts sectaires, contraires au bien commun. Pour le professeur Jean Bricmont il y a une nécessité absolue pour nos sociétés à reconquérir cette autonomie confisquée. Vidéo et interview réalisés par Gérard Lazare pour Arrêt sur Info. Posté par : Arrêt sur Info 03-08-2014
