
Que mes chers lecteurs me pardonnent la trivialité, l’aigreur de vaincu diront certains, qui m’ont inspiré ce titre, mais comment aurai-je pu éviter ce cri du cœur, ou plutôt ce presque râle d’écœurement ? Certes, réduire la sidérante élection...
Nous voici au pied du mur, et au pied de ce mur, nous allons donc probablement avoir le Macron… L’entre-deux tours n’aura pas suffi à renverser la cabane électorale sur le dos du docile et zélé chienchien à ses mémères, l’UE et Angela Merkel. Après nous avoir fait tant souffrir sous la Sarkozie, après nous avoir fait mal à la France comme jamais sous la Hollandie, l’ UMPS dénoncé depuis longtemps par le Front National, nié ou raillé par nos chers merdias durant des mois mais désormais très clairement affiché en pleine lumière électorale, à l’issue d’une manipulation politico-médiatique d’une ampleur jamais vue, en un gigantesque et même en un prodigieux numéro de passe-passe électoral, va désormais probablement nous imposer une Macronie qui s’annonce pas piquée des hannetons. Le système, lui aussi longtemps nié par tous ses porte-flingues de « droite » ou de « gauche », va réussir à nous coller à...
Marine Le PenAlors que la folie proprement suicidaire des dirigeants de l’Union Européenne a plongé depuis sept ans, de Cologne à Calais, le continent dans le chaos migratoire, après les terribles attentats islamistes qui ont ensanglanté Paris en 2015, après les évènements dramatiques qui ont à nouveau eu lieu en janvier, juillet et novembre 2016...
Ce type est un vrai phénomène de foire électorale ! Ses prises de positions, ses propositions souvent délirantes lors de la campagne des primaires de « la Belle Alliance » (je ne m’en lasse pas), sur à peu près tous les sujets, et qu’ils soient sociétaux, politiques ou économiques, semblent sortis d’un vieux catalogue gauchiste ou « écolo » (même si c’est en réalité rigoureusement la même chose, les autoproclamés écologistes de EELV étant comme chacun sait « verts dehors, mais rouges dedans ») des années deux-mille, voire des années quatre-vingt-dix. C’est ainsi qu’on retrouve en vrac à peu près toutes les vieilles lunes portées durant les dernières campagnes présidentielles par Dominique Voynet, Noël Mamère ou Eva Joly, j’en passe et des pires : légalisation du cannabis (évidemment !), droit de vote pour les étrangers (la bonne blague !) , impôts confiscatoires (quelle surprise !), suppression du nucléaire (essentiel pour tout gaucho-écolo qui se respecte !), légalisation des clandestins et accélération considérable...
Bonne et heureuse année 2017 ! 2016 s'en va (je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne... ouf !) et 2017 arrive, avec son lot (inquiétant ou excitant) d'incertitudes... Quoiqu'il en soit, La Plume et son taulier souhaitent à tous leurs lecteurs, fidèles ou occasionnels, une très bonne année 2017...
La Socialie n’en finit pas de m’épater et de constituer, pour moi et pour La Plume à Gratter, une éternelle source d’inspiration et de rigolade (l’humour étant comme chacun sait l’ultime politesse du désespoir). Mais que ferai-je donc à partir de juin prochain, quand cette bande de guignols à nulle autre pareille ne sera plus au pouvoir ? Certes, le grand gagnant du jeu de chaises musicales enclenché par le frapadingue de Matignon pour cause d’ambition présidentielle (je lui souhaite bien du déplaisir pour faire avaler cette pilule élyséenne à ses petits copains de parti), était bien l’un des principaux « favoris » évoqués pour lui succéder à la tête du gouvernement, pour les pauvres mois qui restent avant le grand nettoyage électoral de printemps 2017. Il figurait en bonne place sur une liste à la Prévert de prétendants toujours consternants, parfois carrément improbables : Jean-Yves Le Drian, Stéphane Le Foll, Bruno...
Mazette, quelle soirée ! Quel pied ! Des soirées électorales comme celle-là, on en redemande ! La Plume s’était laissée aller il y a trois jours à avancer quelques hypothèses, quelques pronostics (et espérances) concernant ce premier tour des primaires… si le résultat final a confirmé de façon éclatante...
Quel triste été, mes amis ! Il y a des moments comme ça, que cela soit sur un plan national, international ou même personnel, où tout va de travers ! Le seul mois de juillet devait initialement être celui des vacances pour La Plume… et puis, au début du mois d’août, il était prévu de reprendre ses « activités » de sniper du net : de recommencer à dénoncer sur ses pages virtuelles les petites ou grosses saloperies d’un monde, d’une Europe et d’une France qui vont si désespérément mal… de dézinguer, allumer, dégonfler à nouveau crapules, politicards et baudruches bien-pensantes, à coups de vannes et calembours plus ou moins inspirés… de fouiller encore et toujours, dans les recoins de la toile ou des journaux et livres que personne ne lit ou presque, de relayer les articles ou les vidéos qui nous « disent » ce que les journaux et les télévisions du système nous cachent…...