
On le sait, tous les médias français ont été très largement favorables au projet de loi porté par Christiane Taubira visant à instituer le droit au mariage homosexuel, mariage piteusement et malhonnêtement rebaptisé Mariage pour Tous...
Pour ce second épisode du Palmarès de la Connerie Ambiante, et après notre pilote « béhachélien », c’est cette fois un tiercé de partisans du Mariage pour Tous qui rafle toutes les médailles ! La compétition a cependant été particulièrement acharnée, les concurrents (presque tous issus de la même équipe de choc d’ailleurs)...
On s’en souvient, la toute première décision de François Hollande après son élection à la Présidence de la République avait été, au nom de l’exemplarité, de réduire son salaire et celui des ministres de 30 %. Hollande avait notamment déclaré pour justifier cette mesure : « Je ne dis pas que c’est là qu’il va y avoir des économies substantielles. Je dis qu’à un moment il faut montrer que le comportement au sommet de l’Etat est exemplaire. » Cette décision, effectivement actée lors du vote du Collectif budgétaire le 31 juillet 2012 par l’Assemblée Nationale, avait d’ailleurs eu bien du mal à être mise en œuvre, le Conseil Constitutionnel l’ayant retoquée le 09 août, jugeant que c’était « à l’exécutif de fixer le traitement du Président de la République, du Premier ministre et des membres du Gouvernement » et non aux parlementaires. Le 24 août était alors paru au Journal officiel un décret confirmant...
Les français oublient vite, très vite. C'est sans doute un de leurs plus gros défauts. Il avait ainsi suffit d'à peine un peu plus d'un an, après l'élection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, pour que nos compatriotes -dans un de ces fameux sondages d'opinion dont sont tant friands nos chers médias- fassent de Jacques Chirac à une écrasante majorité...
Ce qui est formidable en cette première année du quinquennat de Flambi, c’est que chaque jour qui passe enfonce un peu plus encore ce gouvernement socialiste censé combattre la financiarisation et la désindustrialisation de la France (c’est ce qu’il nous avait vendu durant la campagne présidentielle) ...
Le lecteur assidu de La Plume à Gratter le sait, l’écrivain Renaud Camus, devenu un paria du monde des lettres suite à ses diverses prises de positions politiques et sociétales (et notamment son ralliement à Marine Le Pen lors de la dernière élection présidentielle qui lui valut de se faire jeter comme un chien par sa propre maison d’édition), dénonce depuis des mois et des mois, et avec une obstination et une conviction presque suicidaires, ce qu’il appelle « le grand remplacement », à savoir l’immigration massive extra-européenne qui selon lui entraîne et entraînera inévitablement toujours plus de changements, de modifications radicales dans la structure sociétale, culturelle, religieuse et pourquoi avoir peur de l’écrire, ethnique de notre pays (lien vidéo et lien article de son discours d’Orange). Que l’on partage ou non l’intégralité de sa thèse et de son argumentation, nul honnête homme ne devrait pouvoir contester qu’il évoque de fait,...
Vous l’aurez sans doute compris, l’auteur a eu bien du mal à mettre des cédilles dans son titre, car le « résultat » finalement obtenu par notre ministre du Redressement Productif -malgré le nom bien improbable de son portefeuille ministériel- est très loin d’être bandant, et donne même carrément envie...
« Quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites » Pierre Dac On savait depuis longtemps qu’il ne manquait pas d’air, mais on reste tout de même presque sans voix devant ce qu’a osé nous sortir lors d’une intervention sur RTL et devant –faut-il encore s’en étonner- un interlocuteur muet comme une carpe, l’ex journaliste de télévision moustachu reconverti dans le carriérisme politique à la sauce EELV (ce moment d’anthologie est à écouter dans son intégralité ci-dessous). Car lorsqu’il fustige ainsi la « liberté de conscience » évoquée par François Hollande devant l’Association des Maires de France en réponse à la fronde grandissante de nombre de ces élus de terrain concernant le fameux Mariage pour Tous, parlant pour l’occasion d’ « atteinte au principe du droit », le Mamère nous fait –et avec un sacré aplomb- le coup de l’hôpital qui se fout de la charité. Et quand il ose ajouter que « quand...
« Quand c’est fini, n-i ni-ni, ça recommence… ». Léo Ferré aurait pu le chanter, l’UMP nous l’impose depuis plusieurs jours. Le tragi-comique sitcom de l’ex-écurie sarkozienne n’en finit plus d’occuper la une de nos journaux, de monopoliser les rédactions de nos télévisions et radios. Plus rien ne se passe dans le monde que cette farce grotesque où deux nains politiques ...