Posté par : DubRudy 18-10-2012
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Publié le : 21 septembre 2012 Source : marianne2.fr « Mon adversaire, c’est le monde de la finance ! » lançait François Hollande encore candidat. Il conviendrait qu’il s’en souvienne lorsqu’on constate aujourd’hui le rôle politique accordé à des financiers – tous issus d’ailleurs d’un même et célèbre établissement – dans des gouvernements européens. Et force est bien d’admettre que s’est constitué en Europe, sous l’égide tacite de Mme Merkel, qui peut-être le regrettera un jour, un réseau dont le nouveau président de la Banque centrale européenne est le cœur. Les contraintes financières ne cessent de croître sur les Etats de la zone euro, dans le dos des peuples et pour leur malheur. Faut-il vraiment les aggraver par deux nouveaux traités ? Le Mécanisme européen de stabilité (MES), ratifié par le Parlement français le 21 février, vise « à mobiliser des ressources financières et à fournir, sous une stricte conditionnalité » un soutien à un pays membre connaissant de...
Publié le : 04 mai 2012 Source : comite-valmy.org L’architecture européenne de Merkel peut se rompre, mais, bien sûr, pas en Allemagne. La chancelière Angela Merkel aurait pu tranquillement attendre pour connaître le résultat des élections présidentielles françaises, mais elle a préféré intervenir. Elle a rompu le silence quelle avait maintenu depuis le retour de ses longues vacances de Pâques, huit jours, dans l’île très napolitaine d’Ischia. En sentant que son architecture européenne peut se fendiller en France, Merkel avance le ton alternatif à ce Merkozy, un ton « Homer », mélange de Hollande et de Merkel. Le message est double, d’un côté, comme le journal Bild le dit, « un coup de poing sur la table » : le pacte de discipline fiscale de l’Union Européenne, « il n’est pas renégociable », avance-t-elle. De l’autre, une branche d’olivier, plutôt une feuille de vigne pour qu’Hollande, s’il envie, peut couvrir les hontes d’une pincée « d’une croissance »....