
Posté par : andelatoile 27-09-2009
Publié le : 17 août 2012 Source : causeur.fr Règle d’or : Giscard vole au secours de Hollande Dans son édition de mardi, Libération publie la tribune de Marie-France Garaud contre la dernière décision du Conseil Constitutionnel, qui a jugé inutile de réviser la constitution avant la ratification de la « règle d’or » budgétaire. Aux côtés de Pierre Juillet, cette grande figure du gaullisme fut l’éminence grise du jeune loup Chirac pendant ses années pompidoliennes, jusqu’à ce que le tonitruant appel de Cochin dirigé contre le « parti de l’Etranger » giscardien ne scelle leur rupture. Si Garaud juge opportun de reprendre la plume dans Libé, c’est que l’heure est grave. Les Sages ont en effet donné quitus au président Hollande, pressé de faire voter la règle d’or au pas de charge pour mieux respecter sa promesse de campagne. Pour le candidat Hollande, il s’agissait de refuser l’inscription...
Publié le : 10 mai 2012 Source : polemia.com F. Hollande a battu N. Sarkozy de 1.139.316 voix ; F. Mitterrand avait battu Giscard d’Estaing en 1981 de 1.065.956 voix. Sarkozy avait battu Royal avec 18.983.138 voix en 2007 soit 2.192.698 de plus. Hollande a donc fait moins bien que Sarkozy en 2007. Pour comparer avec le score de Mitterrand il faut en outre tenir compte du fait que le corps électoral a augmenté et donc que la différence de voix est proportionnellement moindre en réalité qu’en 1981. En effet, entre 1981 et 2012 le nombre d’inscrits a progressé de près de… 10 millions d’électeurs : 36,4 millions d’inscrits en 1981, 46 millions en 2012 (46.073.165 au second tour exactement) ! Mitterrand a donc gagné en 1981 avec un écart de voix représentant près de 3% des inscrits ; en 2012 l’écart de F. Hollande n’est plus que de...
Auteur : Platon Editeur : multiples « La liberté, répondis-je. En effet, dans une cité démocratique tu entendras dire que c’est le plus beau de tous les biens, ce pourquoi un homme né libre ne saurait habiter ailleurs que dans cette cité. Oui, c’est un langage qu’on entend souvent. Or donc, n’est-ce pas le désir insatiable de ce bien, et l’indifférence pour tout le reste, qui change ce « gouvernement » et le met dans l’obligation de recouvrir à la tyrannie ? Comment ? demanda-t-il. Lorsqu’une cité démocratique, altérée de liberté, trouve dans ses chefs de mauvais échansons, elle s’enivre de ce vin pur au delà de toute décence ; alors, si ceux qui la gouvernent ne se montrent pas tout à fait dociles et ne lui font pas large mesure de liberté, elle les châtie, les accusant d’être des criminels et des oligarques ». Lien Wikipédia vers...