
1ère partie : élections départementales _____ 2ème partie : les chrétiens et la gauche, armée européenne, flotte de guerre _____ 3ème partie : économie & géopolitique posté par : Le Bréviaire des patriotes 21-04-2015
_____ Par thèmes « Le danger c’est que la Grèce sorte et que ça marche » _____ « La gauche n’aime plus le peuple ! » _____ l’emprise de l’État : « Il faut décoloniser la France ! » _____ « Mais pourquoi les français se barrent-ils ? » _____ Draghi : « Ceux qui ont fait la ligne Maginot n’étaient pas des imbéciles » _____ « Il vaut mieux un emploi précaire que le chômage » Posté par : Institut des Libertés – IDL 30-03-2015
Publié le : 03 avril 2015 Source : fr.sputniknews.com Les Français ont rejeté un gouvernement inefficace, conclut-on ici et là. Aussi cru que réaliste, il est peu probable que ce constat fasse réfléchir une gauche socialiste dont l’ADN a beaucoup trop muté pour ressembler, ne serait-ce que de loin, à l’héritage idéel en certains points attirant que lui avait légué la SFIO. La montée en puissance spectaculaire d’un FN astucieusement dédiabolisé par MLP et le dépassement du clivage gauche/droite par, d’une part, la révolte généralisée, d’autre part, un je-m’en-foutisme exprimé par une abstention qui en dit long — voici, conceptuellement, le tableau de cette saison. Que le FN n’ait gagné aucun département est un fait n’ayant aucune valeur autre que formelle. L’UMP a bourré son score de voix comptabilisées par son binôme, l’Union de la droite, passant de 1.320.854 à lui seul à 5.102.317, récoltant, ipso facto, une moyenne très...
Publié le : 30 mars 2015 Source : polemia.com Les élections qui viennent de s’achever marquent un tournant dans la vie politique nationale. Nous pouvons d’ores et déjà en tirer quelques leçons qui pèseront sur les échéances politiques des prochaines années. La première leçon, qui s’impose aujourd’hui comme une évidence, est la fin du bipartisme. Tous les commentateurs évoquent désormais l’existence d’un tripartisme. Il était temps, tout de même, d’entériner une réalité manifeste depuis des années, réalité que nous avions analysée ici-même (1) avant les présidentielles de 2012. Le tripartisme, auquel s’accrochent maintenant les commentateurs et les acteurs politiques, n’est qu’une première étape vers un quadripartisme qui scellera définitivement la fin du règne absolu du duo UMPS. Union, vous avez-dit union ? La gauche radicale – qui comprend le Front de Gauche, une part non négligeable des Verts et plus ou moins 1/3 du PS, sans oublier les mouvances groupusculaires...
Publié le : 31 mars 2015 Source : bvoltaire.fr Le FN a rassemblé au premier tour 25 % des suffrages au lieu de 16 % (19 % où il était présent) en 2011. En 2015, il a gagné 31 cantons alors que, de 1974 à 2012, il n’en avait emporté que 17 (de plus petite taille). Partout où le FN dirige des mairies, il emporte le canton ou, à tout le moins, la majorité dans la ville qu’il détient. À Béziers et Hénin-Beaumont, le FN réalise même le grand chelem (tous les cantons). Par rapport au passé, le verre paraît plein. Même si, contrairement aux espoirs du premier tour, aucun département n’est tombé dans l’escarcelle du FN : caramba, encore raté ! Reconnaissons que la propagande anti-FN de Valls a été efficace pour aider la gauche… et l’UMP à sauver leurs sièges face au FN. L’énergumène de Matignon peut donc être satisfait : Gracias, Manuel !...
Publié le : 30 mars 2015 Source : chroniquesdesabusees.wordpress.com Elections, pièges à cons Jamais ce slogan soixante-huitard n’aura été aussi vrai. Certes, la gauche a pris sa raclée, mais elle était attendue. La soi-disant droite a raflé la mise et fait la roue. Fort bien, mais je n’attends guère de miracles de la part des nouveaux exécutifs locaux. Qu’elles soient aux mains d’un camp ou d’un autre, les collectivités locales sont lourdement endettées, ne font pas grand chose pour baisser la fiscalité et dans leur globalité embauchent des fonctionnaires ou des contractuels. A ce qu’il paraît, ce serait pour la grandeur du service public. Celui qui a fait l’expérience d’un guichet municipal ou départemental, sait de quoi il retourne. Il y a donc fort peu de chances pour que les nouveaux élus censés incarner l’espoir fassent quoi que ce soit pour inverser la tendance. L’électeur a été, est et...
Publié le : 30 mars 2015 Source : lefigaro.fr Ayant perdu environ la moitié de ses élus départementaux, le PS va devoir faire une croix sur près de 2 millions d’euros de recette. Au Parti socialiste, la défaite n’est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. « Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental », indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales. En perdant environ la moitié de ses effectifs départementaux, la facture est salée pour le PS, estimée à 2 millions d’euros en moyenne. « Au niveau national, ils vont être obligés de réfléchir à une autre répartition des moyens. Il faudra soutenir les fédérations et avoir un...