posté par : News360x 27-03-2013
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Publié le : 14 mai 2013 Source : observatoiredeleurope.com Il est logique que la fin de l’euro constitue le dénouement de la tragédie franco-allemande puisque c’est la création de l’euro elle-même qui est à l’origine de cette tragédie. En effet, en faisant perdre à chaque Etat de la zone euro d’abord sa souveraineté monétaire, et maintenant sa souveraineté budgétaire, l’euro aboutit à ce qu’aucun Etat ne puisse suivre la politique économique qui est adaptée à son économie. Certes, le premier problème de la France est le chômage, dont la cause tient à l’absence de croissance. Dans le cadre actuel de l’euro, qui l’a privée de ses souverainetés monétaire et budgétaire, le pays ne dispose plus des leviers qui lui permettraient de retrouver la croissance. La France en est donc réduite à demander à l’Allemagne de mettre en oeuvre une action de relance dont elle serait la bénéficiaire. Pour que...
Publié le : 06 avril 2013 Source : siel-souverainete.fr Tribune de Paul-Marie Coûteaux publiée dans La Nef » n° 247 d’avril 2013 En février dernier, Mme Merkel, puis M. Obama lors du discours solennel sur l’état de l’Union prononcé quelques jours plus tard (étrange conjonction…) ont fait ressurgir le projet de « zone de libre-échange transatlantique » consistant à parachever l’abolition de toute protection commerciale, aussi dénommés « entraves au commerce », entre les États-Unis et les 27 et bientôt 28 pays de l’UE. Aussitôt M. Barroso annonçait que la Commission de Bruxelles ouvrirait dès juin des négociations avec l’administration états-unienne en vue de préparer un traité créant une « zone de libre-échange » qui se veut absolue : il ne s’agit pas seulement d’abaisser encore les droits de douane entre EU et UE (déjà extrêmement bas, de 2 à 4 %), mais de supprimer les « obstacles non tarifaires...
Publié le : 29 mars 2013 Source : observatoiredeleurope.com De plus en plus souvent, la fin de l’euro est évoquée comme une éventualité crédible. Certains de ses partisans, prévoyant un avenir difficile, commencent à rejeter la responsabilité de l’échec sur autrui. La monnaie unique, disent-ils, ne pouvait fonctionner sans fédéralisme, et si ce dernier n’est pas venu, ce n’est pas notre faute, c’est la faute des politiques qui n’ont pas fait leur travail. Le dernier livre de Patrick Artus semble s’inscrire dans cette tendance. Il a inspiré à Georges Berthu, ancien député européen, quelques réflexions sur la fin de l’euro. Réflexions sur la fin de l’euro L’économiste Patrick Artus, directeur des études économiques de la banque Natixis, celui-là même qui annonçait en 2008 la fin de la crise, vient de publier un nouveau livre, dans lequel il démontre – d’ailleurs brillamment – ce que tout le monde a maintenant...
Publié le : 07 avril 2013 Source : comite-valmy.org Interview réalisé pour l’hebdomadaire de gauche grec “Epohi” (www.epohi.gr) et qui sera publié dans la semaine du 9 au 15 avril. Après ce qui s’est produit à Chypre où va la zone Euro ? Il est désormais clair que la crise de la zone Euro a marqué une étape importante après la crise chypriote. Cette dernière a fait sauter le tabou d’une ponction sur les comptes bancaires qui était en vigueur jusqu’à présent. L’idée que Chypre constituait un cas exceptionnel, ce qu’a répété le Président Français François Hollande lors de son interview du jeudi 28 mars à la télévision, est morte et bien morte. Klaas Knot, membre du Conseil de la BCE, a ainsi déclaré vendredi 29 mars son accord de principe avec la déclaration très controversée de Jeroen Dijsselbloem le Président de l’Eurogroupe affirmant que le plan de sauvetage pour...
Publié le : 22 mars 2013 Source : observatoiredeleurope.com « Gouverner c’est prévoir »… même pour ceux qui ne gouvernent pas (encore). Depuis quelque temps, les voix eurocritiques françaises n’hésitent plus, devant l’ampleur de la faillite économique, sociale, culturelle et démocratique du projet européen, à briser le tabou du maintien de la France dans l’Union européenne actuelle. A gauche ni Jean-Luc Mélenchon ni encore moins Jean-Pierre Chevènement n’ont osé franchir ce Rubicon du Rubicon. A droite en revanche, on entend évoquer de plus en plus ouvertement et selon diverses modalités, le scénario d’un retrait pur et simple de la France de l’Union européenne. Au cours de la campagne présidentielle de 2012, Nicolas Dupont-Aignan proposa ainsi de « quitter l’Union européenne dans sa forme actuelle ». Le 5 février dernier au Parlement européen, Philippe de Villiers interpella directement et solennellement le Président François Hollande pour lui réclamer l’organisation d’un référendum. Il sera suivi dans...