
Décidément… c’est à croire qu’en matière de manipulation journalistique, de médiocrité politique, ou plus simplement encore de pure crapulerie issue de l’un ou l’autre de ces deux marigots ploutocratiques, on peut encore et toujours espérer faire...
Note de La Plume : on peut aimer ou pas Alain Soral, partager tout ou partie de ses positions, ou au contraire les combattre… mais on ne peut à mon sens, si l’on est un honnête homme et tout simplement un vrai démocrate, ni lui dénier un courage certain face à la censure et la répression délirantes qui le frappent, ni lui refuser le droit d’exprimer sans manipulation, sans simplification médiatique et reductio ad hitlerum grotesque, son positionnement politique et son anti-sionisme de combat. Obsessionnel, Soral ? Peut-être… mais alors… pourquoi ceux qu’il dénonce encore et toujours lui font-ils une telle guerre, médiatique et judiciaire, mais refusent systématiquement de débattre avec lui, accréditant du même coup l’essentiel de sa thèse ? Cette entrevue intégrale vous permettra de vous faire par vous même une idée personnelle sur le personnage et sur ses idées, elle qui fut, bien que réalisée pour...
Publié le : 11 mars 2015 Source : egaliteetreconciliation.fr Partie 1 : Achtung, Fogiel revient ! Tous aux abris ! Le donneur de leçons d’antiracisme condamné pour injure à caractère raciste revient après avoir échoué à la télé, puis à la radio. La question que peut se poser un esprit malveillant guidé par la jalousie serait : comment fait-il pour revenir sur le service public là où il a échoué et où il a été condamné, alors que d’autres n’ont jamais eu de troisième chance, sans même parler de seconde ? Bonne question de Paul, éleveur de chiens du côté de la Bretagne. Paul n’a pas droit à l’erreur : si Paul vend à une petite fille un chiot mal élevé, mal nourri, et maltraité, il va se faire tailler en pièces. Au Fogieland, c’est différent : on a le droit de se planter dans tout ce qu’on fait, on a même un permis pour...
Publié le : 30 octobre 2014 Source : lepoint.fr La chaîne de la « multi-culturalité » est dotée d’un budget de 30 millions d’euros et récolte certains soirs 4 000 téléspectateurs ! Vous avez dit gâchis ? France Ô est une chaîne de France Télévisions qui mérite d’être connue. D’abord parce presque personne ne la connaît. Ce n’est pas, contrairement à ce qu’un réflexe naturel pourrait inciter à penser, la chaîne de l’outre-mer, mais celle de la « multi-culturalité », concept fumeux qui ne semble pas avoir marqué les esprits. Ensuite, parce que personne, ou presque, ne regarde France Ô. Et ce n’est pas qu’une expression. Dimanche dernier, entre 18 h 30 et 20 heures, les programmes de France Ô ont remporté… 0 % de parts de marché ! En clair, pour inclure la marge d’erreur : entre 0 et 4 000 téléspectateurs se sont assis devant leur télé branchée sur la...
Auteur : Francis Guthleben Editeur : Jean-Claude Gawsewisch Date de parution : janvier 2009 L’argent public outrageusement gaspillé, des producteurs privés qui font la loi, un président impuissant et téléguidé… Voici le vrai visage de France Télévisions. Si la télévision publique est au bord du naufrage, ce n’est ni par la faute de Nicolas Sarkozy ni par manque de moyens. Elle s’est sabordée elle-même. Les directions successives ont étouffé les scandales, les gouvernements ont renfloués les caisses. Au terme de dix ans d’une enquête de l’intérieur sans précédent, Francis Guthleben trace les contours d’une télévision publique libérée de dirigeants, syndicalistes, producteurs, animateurs qui satisfont leurs intérêts personnels plutôt que d’être au service des téléspectateurs. Journaliste d’investigation pendant dix-huit ans, écrivain, réalisateur, Francis Guthleben était cadre de direction au sein de France Télévisions. Il a été licencié pour « désaccord avec la direction ».