
Comment interpréter/vivre les résultats du Front National quand on est étranger aujourd’hui. Est-ce qu’on doit paniquer ou bien est-ce que ces résultats ne sont pas dans nos intérêts à long terme ? Aldo Sterone Posté par : Aldo Sterone 26-05-2014
Publié le : 26 mai 2014 Source : bvoltaire.fr N’en déplaise aux oiseaux de malheur déclinistes et à ceux qui ne voient en la France qu’une « puissance moyenne » dont la seule chance de survie consistait, jusqu’alors, à se diluer dans un magma technocratique n’ayant d’Europe que le nom, il subsiste encore une spécificité nationale, laquelle vient de s’exprimer dans les urnes dimanche. De manière claire et sans appel. Peu avant minuit, le Front national est, pour ce scrutin au moins, devenu premier parti de France avec 26 % des suffrages. Loin devant l’UMP (20,66 %) et le PS (13,88 %). Les autres listes se partageant les miettes avec, néanmoins, les près de 4 % de Debout la République, le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan, pas très loin de talonner les 6,6 % du Front de gauche. Spécificité française, disions-nous ? Oui, car c’est bel et bien d’un tremblement de terre qu’il s’agit. Qui ne trouve pas...
Le 19 mai 2014, Marine Le Pen et Aymeric Chauprade étaient les invités du Libre Journal d’Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie, pour évoquer les élections européennes du 25 mai 2014, élections sans doute désormais capitales pour l’avenir de la France. Marc LEROY – La Plume à Gratter « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie La Plume à Gratter, site de réinformation ouvertement malpensant et foncièrement patriote ! (http://laplumeagratter.fr) Posté par : Marc Leroy 20-05-2014
Publié le : 17 mai 2014 Source : onefoutus.over-blog.fr La barbe! Mais non, je ne vous parle pas de Conchita Barbapoux-Saucisse, la victorieuse de l’Eurovision, concours de chansons dont nous avons d’autant moins à foutre que les représentants de la France y collectionnent les places de déshonneur depuis la regrettée Marie Myriam en 1967. Bien sûr, cette année l’obtention de la lanterne rouge du bon dernier fit quelque bruit dans les gazettes, lesquelles devaient cependant s’y attendre vu les trois abrutis mal léchés et la chanson de merde qui portaient indignement nos couleurs. Vous me direz, à juste titre, qu’une épreuve dont le vainqueur se révèle comme un travelo barbu militant de l’intersexualité à oscillations multipolaires, ne mérite pas plus notre intérêt que les sommets franco-africains in order to bring back our girls, de Culbuto avec le camarade Goodluck et son bitos, ou bien encore les tribulations du sieur...
Publié le : 14 mai 2014 Source : lefigaro.fr Depuis quelques décennies, le projet européen s’enfonce résolument dans un déni mortifère, signe d’une crise de civilisation sans précédent. Pour éviter la dissolution de la France dans l’Europe, et de l’Europe dans l’utopie mondialiste, il est plus que jamais urgent de redonner aux peuples le pouvoir qui leur a été insidieusement confisqué. Une soif d’omnipotence pousse nos élites européennes à nier peu à peu toutes les éléments fondamentaux d’un monde authentiquement humain: la nation, la famille, la culture. La construction européenne a volontairement instrumentalisé les deux guerres mondiales, les tragédies du XXème siècle pour culpabiliser la nation en tant qu’entité politique et culturelle. Reposant sur une vision aussi partielle que subjective de l’histoire pour être à même de réduire la nation au nationalisme, cette culpabilisation n’a servi qu’à légitimer une construction européenne postnationale. Or, comme le rappelle magistralement Pierre Manent,...