Posté par : KTO 20-02-2014
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Publié le : 23 février 2014 Source : voltairenet.org La puissance d’un État se mesure à sa capacité à se défendre et à celle d’attaquer sur un ou plusieurs fronts. Dans cette optique, Washington tente pour la première fois de montrer qu’il peut renverser trois gouvernements simultanément, en Syrie, en Ukraine et au Venezuela. S’il y parvenait personne ne serait plus en mesure de lui résister. Washington, qui a échoué en 2011 à bombarder simultanément la Libye et la Syrie, est en train de tenter une nouvelle démonstration de sa force : organiser des changements de régime dans trois États à la fois, dans des régions du monde différentes : la Syrie (CentCom), l’Ukraine (EuCom) et le Venezuela (SouthCom). Pour ce faire, le président Obama a mobilisé presque toute l’équipe de son Conseil de sécurité nationale. D’abord la conseillère Susan Rice et l’ambassadrice à l’ONU, Samantha Power. Ces deux femmes sont...
Publié le : 21 février 2014 Source : polemia.com Les événements en Ukraine nous permettent une nouvelle fois de découvrir comment fonctionne désormais le monde occidental et la pitoyable Union européenne en particulier. L’Ukraine, traditionnellement divisée culturellement entre occidentalistes et slavophiles par le fleuve Dniepr, joue un rôle crucial dans le « grand jeu » américain d’isolement et de morcellement de la Russie. C’est pourquoi le Système cherche à intégrer l’Ukraine dans le camp occidental à tout prix, donc dans le machin appelé Union européenne. Alors que ce projet n’était pas l’ordre du jour pour le gouvernement ukrainien, voilà, par un curieux hasard – quand la Russie est occupée par ses Jeux d’hiver de Sotchi – que des manifestations vont croissant à Kiev et, nous dit-on aussi, dans la partie occidentale de l’Ukraine. On nous refait le coup de la Syrie Bien entendu, pour nos médias ces manifestants, forcément pacifiques, sont...
Au moment où l’Ukraine est traversée par des troubles importants, il convient de se poser la question de l’origine de ces troubles. Sont-ils le fait de l’absence de démocratie ? N’y a-t-il pas d’autres raisons bien plus géopolitiques ? Par Aymeric Chauprade. © realpolitik – janvier 2014 Posté par : realpolitiktv 29-01-2014
Publié le : 27 janvier 2014 Source : La Voix de la Russie La situation en Ukraine donne souvent lieu à de nombreuses interprétations fantaisistes lorsqu’elles ne sont pas mensongères ou propagandistes, par omission ou méconnaissance bien souvent. L’idée de cet article est de tenter de mettre un cadre clair à ces événements, loin de l’impartialité du Mainstream médiatique occidental. 1) Les Ukrainiens qui manifestent se battent pour lutter contre un président illégitime Malheureusement ce n’est pas totalement vrai. Si la précédente révolution en Ukraine de l’hiver 2004, 2005 s’était déclenchée dans les jours qui ont suivi les résultats d’une élection serrée et peut-être contestable, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Le président Viktor Ianoukovitch a été élu le 7 février 2010, soit il y 4 ans, et le scrutin a été déclaré par L’OSCE « transparent et honnête ». Lors de ces mêmes élections, le précédent président, issu...
Conférence de Susan George, fondatrice et présidente d’honneur de l’association ATTAC (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) à propos de l’accord de libre-échange transatlantique, entre les États-Unis et l’Europe, qui doit entrer en vigueur en 2015. En quoi ce traité, préparé dans le secret le plus absolu, va t-il nous impacter et pourquoi nous devons tous être informés de ses dangers ? Posté par : agenceinfolibre 15-01-2014
Publié le : 14 décembre 2013 source : alexandrelatsa.ru Comme les lecteurs de RIA-Novosti pouvaient s’en douter la guerre des grands ensembles s’est sensiblement accentuée ces dernières semaines sur les deux fronts sensibles que sont l’Arménie et surtout l’Ukraine. Dès l’annonce de la décision du président Ukrainien de ne pas signer l’accord avec Bruxelles des milliers, puis des dizaines de milliers d’Ukrainiens sont descendus dans les rues de quelques villes de l’ouest et du centre du pays mais aussi et surtout de Kiev, pour protester contre cette décision politique. Qui manifeste? Les protestations ont été organisées par une alliance surprenante de partis de tendances différentes, allant de la droite à l’extrême droite de l’échiquier politique ukrainien. Il y a tout d’abord le parti «Alliance ukrainienne démocratique» (UDAR) du boxeur Klichsko qui bénéficie du soutien officiel de la CDU d’Angela Merkel. Il y a aussi le parti «Patrie» de Yulia...