
Si c’est lui qui le dit… Jacques Attali dans Tirs croisés sur I-Télé présenté, par Laurence Ferrari. Posté par : Jean Monnaie 20-01-2015
L’Agence Info Libre est allé à la rencontre d’Étienne CHOUARD ce mardi 4 novembre 2014. Cela a été l’occasion pour nous de parler de son passage récent dans l’émission « Ce soir ou jamais », du prix Nobel Jean Tirole, du ministre de l’économie Emmanuel Macron, de l’imposture économique et politique, du tirage au sort (naturellement), et de Nouvelle Donne (nouveau parti) et de Mélenchon. Posté par : agenceinfolibreTV 05-11-2014
Publié le : 30 août 2014 Source : egaliteetreconciliation.fr « Dans cette bataille qui s’engage, mon véritable adversaire n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti mais il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance », promettait François Hollande dans un accès de virilité le 22 janvier 2012, lors de son discours du Bourget. Dès son élection, le même François Hollande prenait comme secrétaire général adjoint et principal conseiller financier Emmanuel Macron, jusque alors banquier associé chez Rothschild… Après avoir influencé la politique économique du président de la République (avec le pacte de responsabilité notamment), celui dont le mentor est Jacques Attali et qu’Alain Minc surnomme affectueusement le « petit Macron » avait quitté son bureau de l’Élysée à la mi-juillet, assurant qu’il souhaitait rejoindre l’enseignement dans de grandes universités européennes. Mais le 26 août dernier, soit moins d’un mois et demi plus tard, il effectue un retour en...
Vidéo disponible en 720 HD Comment les Européens ont-ils pu basculer, sans bruit, sans violence et presque sans s’en apercevoir, dans un régime antidémocratique ? Comment ont-ils pu laisser leurs gouvernements renoncer progressivement à ce qui leur était le plus cher : leurs libertés, à commencer par celle de choisir souverainement leur destin, ainsi que leurs communautés nationales ? Cette préservation des souverainetés était une condition impérieuse de la paix : l’Histoire nous enseigne que les démocraties modernes ne se font jamais la guerre entre elles. À l’heure où la dette publique, la pauvreté, la crise d’identité et la défiance populaire atteignent une ampleur historique sur le continent, la question de l’avenir démocratique de l’Europe paraît d’autant plus cruciale. Tels sont les enjeux en train de se nouer derrière les accélérations fédérales en cours, depuis le déploiement des effets du traité de Lisbonne jusqu’aux nouvelles bases juridiques d’une gouvernance...
Publié le : 24 février 2014 Source : vudefrance.fr VdF : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter ? MD : J’ai 45 ans, je suis diplômé d’école de commerce et j’ai exercé depuis 21 ans le métier de contrôleur de gestion, d’abord dans une direction financière, puis au sein d’un service ingénierie. Mon expérience me prédispose donc à percevoir prioritairement les aspects économiques, particulièrement sous l’angle des problématiques logistiques et industrielles. J’ai toujours tenté d’en tirer parti pour intégrer cette sensibilité particulière dans un tableau d’ensemble des problématiques abordées, afin de ne pas tomber dans l’erreur classique des économistes, qui ont tendance à ne voir que ce qu’ils regardent. VdF : Pour quelles raisons avez-vous décidé de vous engager dans le combat intellectuel ? MD : Parce que je ne trouvais pas dans « l’offre intellectuelle » existante certaines des réponses que je cherchais. Je suis quelqu’un,...