
Posté par : raspail2 13-11-2012
Publiés le : 09 novembre 2012 Source : alterinfo.net partie 1 & partie 2 Rien n’arrêtera le CRIF si un large mouvement d’opinion ne s’oppose pas à sa politique ! Ce Conseil soi-disant Représentatif des Institutions Juives de France, qui ne représente en réalité qu’une faible minorité de la population juive française, a une politique très simple : exercer le rôle de courroie de transmission de la politique de l’Etat d’Israël, veiller à être reconnu par les pouvoirs publics comme le représentant de l’ensemble de la population juive de France, et museler tout mouvement qui s’oppose à la politique de colonisation, d’apartheid et d’épuration ethnique d’Israël. Le CRIF n’a cessé depuis 12 ans de faire pression pour que soient censurés toutes sortes d’événements concernant la Palestine. Et cela en brandissant les arguments de provocation à l’antisémitisme, de trouble à l’ordre public et de partialité. Rappelons quelques exemples. Il y...
Publié le : 29 octobre 2012 Source : causeur.fr Le laissez-faire libéral, ce n’est bon que pour les prolos ? Entre le fou-rire et la colère, c’est ainsi que nous laisse l’éditorial de Nicolas Demorand paru ce samedi dans Libération. Intitulé “Régulation”, la prose du directeur de Libé, journal dont la santé se fait de plus en plus chancelante, dénonce “la fascination pour le numérique, les miracles qu’il permet, la réalité qu’il façonne, masque la brutalité du capitalisme qui lui a permis de se déployer ; l’inéquité des échanges qu’il suscite; la fragilisation de certains piliers de la démocratie qu’il accélère, du marché régressant à l’âge des monopoles aux journaux incapables, quels que soient leurs investissements, de financer durablement la production d’informations de qualité “. Le rire nous saisit lorsqu’il en appelle à une “souveraineté numérique” et qu’il fustige “les quolibets libertaires”. Voilà donc le journal de la rue...
Publié le : 17 avril 2012 Source : agoravox.fr Car après tout, dans cette campagne de premier tour, les candidats, grands ou petits, seront venus exposer leurs programmes, leurs idées, leurs projets ; partout. Je veux dire : dans tous les médias. N’était-ce pas l’occasion rêvée pour les placer face à leurs contradictions, leurs insuffisances, parfois même leurs mensonges ? N’était-ce pas le moment, enfin, de leur poser les bonnes questions, et de s’y tenir ? J’entends par « s’y tenir », faire fi des diversions, des sourires connivents, de la petite phrase qui noie le poisson, de ces figures de style qui ravissent les imbéciles. « S’y tenir » signifiant : faire son métier. Celui de journaliste. Vaille que vaille. Et quoi qu’il en coûte. Seulement voilà, nonobstant le fait que cela impliquerait que ledit journaliste oubliât, le cas échéant, l’annonceur, l’actionnaire, ou l’industriel qui l’emploie, il conviendrait itou qu’il traitât d’égale façon chaque candidat. Or, et...