Posté : Le Bréviaire des patriotes 17-12-2016
- Accueil
- Tous mes articles
- Trombinoscope
- Bibliothèque
- La Plume parcourt le Net
- Vidéos
- En savoir plus sur La Plume
- Je soutiens La Plume à Gratter !
Reportage réalisé en Syrie par Julien Rochedy pour TV Libertés. On y découvre le point de vue de femmes et filles syriennes, libres de faire leurs études, de pratiquer leurs passions ou d’exercer leur profession, dans la peur qu’elles ressentent tous les jours depuis le début du conflit Syrien de voir les rebelles islamistes triompher. Ce reportage permet d’offrir un autre angle sur le conflit le plus sanglant de ce début de XXIe siècle, afin de comprendre une réalité bien plus complexe que celle qui nous est montrée par les grands médias traditionnels. Posté par : TV Libertés 13-1-2–2016
Sécession, entretien d’octobre 2016 en compagnie de Julien Rochedy, en exclusivité sur le Bréviaire des patriotes. Sommaire : – 00:02:17 : Marseille et la Corse – 00:14:00 : Réflexion sur l’ethnie et les civilisations – 00:33:08 : Actualité politique (Buisson, Sarkozy, Marine Le Pen, Juppé) – 00:45:21 : Gaullisme et pragmatisme – 00:47:50 : Comment se faire respecter par l’UE – 00:52:58 : Qu’est-ce que la gauche, et quelles sont les valeurs de droite ? – 01:06:00 : Le libéralisme est de gauche – 01:10:55 : A propos de Raphaël Glusckmann (et Léa Salamé) – 01:17:00 : La France au défi de l’islam (Éric Zemmour) – 01:27:17 : Trump et la campagne américaine – 01:32:18 : Le grand tabou des intellectuels français – 01:40:37 : Révélation et mise au point sur la Syrie – 01:52:17 : Homosexualisme parisien Posté par : Le Bréviaire des Patriotes 04-11-2016
Publié le : 12 mai 2016 Source : rochedy.fr Fin mai, je serai au rendez-vous de Béziers. Organisé par Robert Ménard dans la ville dont il est l’édile, ce rendez-vous d’un week-end rassemblera peut-être tout ce que la « droite » sérieuse compte de représentants. Je dis « droite sérieuse », je pourrais dire : « assumée », « conséquente » ou « déterminée », mais je pourrais dire plutôt : « orpheline ». Car oui, toute cette droite saucisson-pinard, traditionnelle, catholique ou presque, « hors les murs », mousquetaire, nationale, souverainiste, identitaire, libérale et/ou colbertiste – intellectuelle surtout – oui, toute cette droite est désormais orpheline, turbide et angoissée à l’idée que la course de 2017 puisse partir sans qu’aucune de ses écuries n’y concourent. Une société française passée à droite Cette droite bouillonne comme jamais, échauffée tous les jours par l’état de la société française. Précisément, celle-ci ne semble jamais avoir été autant « à droite » dans ses idées et désidératas. C’est, en tous cas,...
Publié le : 28 mars 2016 Source : rochedy.fr Le piège du selfie Salut, vous êtes tombés dans le piège ! Il y a encore en France de nombreuses personnes, surtout parmi les politiques et les observateurs, qui n’ont pas compris, ou qui ne veulent pas comprendre, les nouvelles modalités de la communication. Certaines personnes m’ont reproché le côté ridicule, voire bouffonesque, d’un selfie avec Bachar El-Assad. D’autres sont venus m’expliquer doctement à quel point toutes ces affaires méritaient un peu de sérieux et de convenances. Merci bien, mais je sais évidemment tout cela. Mais je sais aussi autre chose : les trois-quart (si ce n’est beaucoup plus) des personnes qui sont en train de lire cet article ou qui le liront, sont et seront venus par le truchement de ce selfie un peu guignol. Sans cela, pas de buzz, pas de polémique, peut-être même moins d’informations médiatiques sur le voyage...
Note de La Plume : plus il vieillit, plus il se fait attaquer par les médias et tous ses amis de gauche, plus Michel Onfray devient lucide sur le monde occidental tel qu’il va (c’est à dire à sa perte, par médiocrité, par lâcheté, par bêtise, par la trahison de ses élites). Un constat de « vieux con » réac, comme il est bien obligé de le constater lui-même, suite aux attaques médiatiques ou politiques (et carrément gouvernementales) dont il est aujourd’hui l’objet. Il en vient même, lui le « cathophobe » pathologique, à affirmer ici les racines chrétiennes de la France et de l’Europe, à mettre en avant les merveilles que le continent doit au christianisme : un comble ! De plus en plus lucide donc, mais malheureusement, encore et toujours arcbouté sur sa fumeuse idée de la « gauche » solution à tous les problèmes, pas prêt pour autant à en tirer les...
J’explique dans cet entretien avec la gazette Le Rouge & Le Noir (dont j’aime plus le nom que la ligne éditoriale, même si celle-ci ne me dérange pas) les raisons de mon départ du Front National. J’ai essayé de le faire sobrement, sans violence et rationnellement. Bien entendu, il y a quelques coups de canifs, mais ceux-ci sont franchement sympas compte tenu de ce que je sais des personnes que j’égratigne. J’aurais de splendides anecdotes hallucinantes à raconter si d’aventures je perdais les nerfs. Mais je ne les perdrai pas. Quels qu’ils soient, je soutiens encore tous les cadres du FN, dans la mesure où ils restent bien meilleurs que ceux de l’RPS. Notamment au niveau local, leur travail est très souvent excellent. Je m’aperçois que je me suis mal expliqué sur les questions économiques, à propos du libéral-conservatisme dont je semble ici être le porteur. Je reviendrai pas écrit...
Publié le : 22 juin 2015 Source : rochedy.fr Cher Michel, D’abord, Michel, permets moi d’être franchement familier. C’est qu’on a quelques amis en commun, et c’est surtout que tu fais, somme toute, un peu parti de ma famille. Voilà des années et des années que tes livres traînent sur la table du salon de mon père. Je crois les avoir tous vu passer, au moins depuis La politique du rebelle. Je ne compte pas les fois où l’on parla de toi au repas ; moi t’enfonçant, mon père te défendant, toi dont le parcours ressemble au sien, comme il ressemble à tant d’hommes de ta génération (ce qui explique une partie de ton succès). Jeune provincial éduqué à l’ancienne chez les bonnes sœurs et jeté d’un coup, à l’âge d’homme, dans le post-modernisme et ses valeurs hédonistes : un grand classique, presque un poncif générationnel. Tu me pardonneras donc, j’espère, le tutoiement...
Publié le : 1er juin 2015 Source : rochedy.fr Que l’on s’arrête un temps sur la politique française : on n’y trouvera que de la com. Les choses qui encore se font, se font, à la limite, à l’échelon local – à l’échelon, dirons-nous, communautaire. Pour le reste, c’est à dire au niveau national, il n’y a qu’une stricte application des élans de l’époque, laquelle obéit à une décomposition progressive de tous les acquis des siècles. Le Parti Socialiste au pouvoir, à la suite de l’UMP, détricote les fondamentaux de la France que nos grands-parents et parents ont connu : éducation, symboles, fonction publique, identité, autorité, culture, centralisation, etc. Cette politique effective de déconstruction semble être la seule possible au pouvoir, comme si elle obéissait à des impératifs qui appartiendraient à un déterminisme historique obligatoire d’intermède entre deux siècles. Quand à ceux qui briguent le pouvoir national, les Républicains et les Frontistes, leur rhétorique...