
Lucien Cerise présente son livre : « Retour sur Maïdan, la guerre hybride de l’OTAN ». Posté par : Le Retour aux Sources Editeur 15-04-2017
Publié le : 02 mars 2017 Source : comite-valmy.org L’étude des relations bilatérales de ces trois pays, pris deux à deux, est très intéressante car ces relations conditionnent et expliquent bon nombre d’événements géopolitiques majeurs qui agitent la planète aujourd’hui. On connaît les excellentes relations USA-Israël sans en connaître tous les ressorts, les relations très froides teintées d’hostilité entre les USA et la Russie sans en connaître non plus toutes les raisons, mais ce dont on a moins conscience, c’est que ces relations USA-Russie découlent pour une large part des relations Israël-Russie dont le moins qu’on puisse dire est qu’elles sont, malgré les apparences, tout sauf cordiales. Examinons donc ces relations très particulières Israël-Russie et voyons comment elles conditionnent largement les relations USA-Russie, et pourquoi, malgré la volonté affichée de Trump, ces relations USA-Russie auront beaucoup de difficultés à s’améliorer. _____ I – Relations Russie-Israël Derrière les poignées de...
Publié le : 26 juin 2016 Source : algeriepatriotique.com Pour le journaliste et homme politique suisse, le nouvel axe en Europe de l’Ouest n’est plus Paris-Berlin, mais Berlin-Varsovie. Interview. _____ Algérie patriotique : Dans votre livre Russie-Occident : la guerre de mille ans vous avez remonté l’histoire, jusqu’à l’empereur Charlemagne, pour expliquer l’acharnement des Occidentaux contre la Russie. Pouvez-vous nous en parler ? Guy Mettan : C’est peut-être paradoxal, mais la russophobie occidentale est plus ancienne que la Russie ! En effet, elle a commencé avec les rivalités politiques et religieuses qui ont opposé l’Empire d’Occident, fondé par Charlemagne en l’an 800, à l’Empire d’Orient basé à Constantinople, et les Eglises catholique et orthodoxe. Charlemagne était un rebelle qui a réussi à s’imposer face au souverain légitime qui régnait à Byzance. Ses successeurs, qui ont créé le Saint-Empire romain germanique à la fin du Xe siècle ont ensuite réussi à imposer aux papes des...
Note de La Plume : nous n’avons eu accès, pour rendre compte des évènements d’Ukraine et de la fameuse révolution démocratique du Maïdan, qu’à l’invraisemblable propagande occidentale et poro-UE servie par tous les médias du système. Gentils démocrates contre dictateur corrompu (Victor Ianoukovitch) appuyé par un ignoble dictateur sans doute « autiste » (Vladimir Poutine), etc. Voici un documentaire montrant les évènements « de l’autre côté ». Il n’échappe sans doute pas lui aussi à une forme de propagande… mais il permet tr_ès largement de rééquilibrer les choses, et d’avoir une lecture plus lucide de ce qui s’est réellement passé en Ukraine. A voir absolument ! 1ère partie _____ 2ème partie _____ 3ème partie Posté par : Boublik TV 04-04-2015
Publié le : 10 avril 2015 Source : arretsurinfo.ch Certains naïfs continueront à croire, ou à faire croire, que l’opération Maïdan est le fruit d’un élan démocratique spontané. Toutefois, plus le temps passe, et plus les faits cachés ressortent à la surface, moins cette version romantique semble crédible. Les médias russes ont récemment rendu accessible au public européen, et notamment français, le film: « Crimée: retour à la Patrie », que les lecteurs peuvent visionner ici. Pour ceux qui s’intéressent à la réalité de l’histoire, ce documentaire présente l’envers des événements survenus en Ukraine mais aussi en Crimée. Les témoignages de nombreux acteurs locaux permettent de mieux appréhender le point de vue russe et confirment que la réalité est bien éloignée de la narration qui nous a été imposée par notre mainstream national.Les informations dont le pouvoir russe dispose confirment la forte immixtion occidentale et américaine dans les événements...
Publié le : 10 février 2015 Source : comite-valmy.org La bataille d’Ukraine se présente comme un enjeu géopolitique majeur entre les deux superpuissances de la Guerre froide, dans le cadre d’une partie stratégique jouée sur l’échiquier eurasien et activant les Etats-pivots de la région comme des pions internes à cette partie. Le contrôle de l’Ukraine, perçue par les deux adversaires comme un Etat clé de cet échiquier, s’inscrit dans la poursuite d’un double objectif tenant d’une part, à l’extension des zones d’influence idéologique et d’autre part, à la conquête du leadership politique en Eurasie post-communiste. Associée à sa capacité de nuisance sur les grands acteurs de la région, la nature stratégique de l’Ukraine sur les plans politique (au cœur des grandes alliances) et énergétique (au cœur du trajet des tubes), explique son rôle fondamental dans la ligne anti-russe de Z. Brzezinski reprise par l’administration Obama. La cooptation de l’Ukraine...
Publié le : 18 décembre 2014 Source : lesakerfrancophone.net Si la vie de 45 millions de gens n’était pas en jeu, la politique nationale ukrainienne serait l’objet de la risée générale, dans le registre de l’humour malsain. Toute prétention à qualifier les élections nationales d’octobre, ne serait-ce qu’approchant l’expression d’une authentique démocratie, telle que des milliers d’Ukrainiens ordinaires l’ont souhaité au travers de leur engagement sur la place Maïdan il y a à peine un an, s’est tout simplement évanouie avec la présentation par le premier ministre préféré de Nuland, Yats Iatseniouk, de son nouveau cabinet. Le président ukrainien, sélectionné par les USA, l’oligarque milliardaire Petro Porochenko en appelait, fin août, à des élections anticipées pour le 26 octobre. Cette manœuvre visait à prendre au dépourvu une authentique opposition à son régime de meurtriers, gangsters et dans certains cas de nazis accomplis, et de la pousser hors de la...
Publié le : 03 février 2015 Source : michelcollon.info Les médias occidentaux ont profondément malmené l’information au sujet de la crise ukrainienne, présentée non comme essentiellement l’implosion de l’État et de la société ukrainienne, mais comme un affrontement entre Kiev, l’Union Européenne, les États-Unis d’une part et la Russie d’autre part. Ils semblent s’être interdit d’envisager une solution négociée et diplomatique, et condamnent sans nuance la Russie de V. Poutine, en retrouvant les accents de la « guerre froide » qui avait disparu à l’époque de B. Eltsine. Les mêmes médias se sont peu attardés sur la nature ambiguë de la « révolution » très peu « démocratique » de Kiev, reprenant à leur compte les accusations portées contre les rebelles de l’Est, qualifiés de « terroristes », après avoir accusé la Russie « d’expansionnisme ». les faits et très vite, les États-Unis et l’Union Européenne ont procédé à...
Publié le : 29 janvier 2015 Source : comite-valmy.org Ces derniers jours, une vague très bien coordonnée d’attaques vient de se produire contre la Russie, sur la scène des déclarations politiques. Que ce soit des Etats Unis, de l’UE ou d’Ukraine, chacun veut faire de la Russie un agresseur. L’Occident est-il à ce point affaibli pour tenter de regrouper ses forces face à un ennemi commun ? La création de la figure de l’ennemi est très utile. Elle permet de regrouper des cercles différents, qui n’ont pas de projets constructifs communs, derrière un même danger. Les divergences sont minimalisées face à un danger commun. C’est le premier intérêt de la montée en puissance du discours anti-Russie auquel nous venons d’assister. Car l’unité oublieuse n’arrive pas à se faire autour de la nouvelle idéologie monopolisante en Occident. La vague Charlie Hebdo fait grincer les dents, trop de faibles voix s’élèvent, trop...