
Depuis la charge scandaleuse, l’ignoble attaque, l’abjecte diatribe de Roland Dumas contre le jeune Premier ministre que François Hollande « a donné à la France » (ça me rappelle quelque chose, tiens…), nos médias ne parlent désormais...
Publié le : 17 février 2015 Source : bvoltaire.fr Confessée par Ruth Elkrieff sur BFM TV au soir des attentats de Copenhague, Caroline Fourest fait cette magnifique sortie : « La France est une démocratie jusqu’à ce que les gens votent pour l’extrême droite ». Car le problème, le nœud, le cancer, la vérole, la gangrène qui ronge notre société et arme aujourd’hui le bras des assassins, c’est bien sûr Marine Le Pen. Qu’elle ne nomme certes pas mais dont tout le monde a compris qu’elle occupe ses pensées. Va pour Caroline Fourest, secouée sans doute que son ex-amoureuse Inna Shevchenko ait échappé de peu au massacre danois. On ne saurait, toutefois, trouver la même excuse à Philippe Bies, député PS du Bas-Rhin qui, lui, faisant foin de l’enquête de la police scientifique, a déjà trouvé les coupables du saccage du cimetière juif de Sarre-Union. Comme un certain Pierre Joxe à Carpentras....
Publié le : 10 février 2015 Source : lepoint.fr Paillettes et poudre aux yeux semblent être les deux piliers de la communication de François Hollande, qui depuis un mois est en plein déni de réalité. C’est entendu : François Hollande est devenu l’homme de l’année… Élu président grâce à deux hôtels – le Fouquet’s et le Sofitel -, il compte à présent être réélu sur la lancée d’un double attentat. Pourquoi s’en priverait-il ? Les communicants ont parfaitement fabriqué son image, les médias ont suivi, l’opinion a opiné et les sondages ont entériné : oui, décidément, Hollande en janvier 2015, c’était Napoléon au pont d’Arcole, Clémenceau à Verdun et de Gaulle à Montcornet. Depuis son fauteuil, il a dit à ses ministres et à ses policiers : « Allez-y, les gars ! » Cela nécessitait certes un courage surhumain, mais, entre nous, qu’aurait-il pu faire d’autre ? Eh bien, dire...
Jean-Sébastien Ferjou, directeur de publication du site internet Atlantico, remarquable de bon sens lors d’un débat sur le bien-fondé de l’emploi récent du terme « apartheid » par Manuel Valls, face à une caricature de bobo dont j’ai fort heureusement déjà oublié le nom, membre d’un obscur « think tank » socialiste, qui enfile les perles politiquement correctes avec un mépris abyssal pour son interlocuteur, tout à fait emblématique de la mentalité de ce genre de cuistre. Face à ce mépris, Ferjou décide de quitter le plateau, laissant la blonde virago planté là comme… ce qu’elle est. Merci, monsieur Ferjou, la vache, que cela fait du bien ! Ouf ! Marc LEROY – La Plume à Gratter posté par : itele 24-01-2015
Le 20 janvier, dans sa chronique du Libre journal des débats animé sur Radio Courtoisie par Benjamin Blanchard, Léopold Gauthier revenait sur la séquence médiatico-politique hallucinante que nous venons de vivre : attentats islamistes de Charlie Hebdo et de l’HyperKacher de la porte de Vincennes, emballement médiatique français plus « planétaire » (en réalité occidental), appel à l’union nationale dans le « vivrensemble » et le « padamalgam », puis, cerise sur un gâteau de plus en plus indigeste manifestation du 11 janvier avec en (fausse) tête de cortège quelques uns des principaux responsables de la situation que nous vivons aujourd’hui. Une chronique au vitriol et frappée au coin du bon sens qui fait du bien, dans l’océan de bienpensance et de propagande inouïes où s’est noyée la France en ce début d’année 2015. Ca ne console pas, mais ça soulage ! Marc LEROY – La Plume à Gratter Posté par : Marc LEROY La Plume à...
Publié le : 21 janvier 2015 Source : fr.novopress.info Présentant mardi ses vœux aux journalistes, le Premier ministre n’a pas hésité à employer l’expression « d’apartheid territorial, social et ethnique » pour évoquer la situation catastrophique des banlieues françaises. Une expression à la fois anachronique et géographiquement inappropriée qui, non contente de montrer l’inculture de ceux qui nous gouvernent, abonde dans le sens de la culpabilisation de notre pays. Les mots ont un sens Ce n’est pas la première fois que Valls se hasarde à cette comparaison. En 2005 déjà, au lendemain des émeutes qui avaient mis à feu et à sang les banlieues, celui qui était alors maire d’Evry établissait ce parallèle douteux dans son livre La Laïcité en face. Depuis, il nous le ressert régulièrement, expliquant notamment en 2009, sur la chaîne Direct 8, « qu’un véritable apartheid s’est construit, que les gens bien-pensants voient de temps...