
... plus forts que La Plume ! Et bien dis-donc… j’ai l’air fin moi aujourd’hui, avec mon gouvernement de 1er avril ! Ah, ça m’apprendra à faire le malin, à essayer de faire encore plus ridicule que le chef de la Hollandie...
« Quand le gaz part, le gui gnole », aurait pu écrire Pierre Dac (ou l'almanach Vermot)... Il y avait depuis un bon petit moment déjà de l'eau dans le gaz (justement) entre le Parti Socialiste et les chômeurs et autres précaires... Et c'est soudain la catastrophe (une de plus !) hier soir pour le parti à la rose...
1ère partie Merci pour les cadeaux ! ; Dieudonné : chasse à l’homme ; comiques kapos : Stéphane Guillon et Nicolas Bedos ; où sont les rappeurs ? ; JSS et Elfassi persécuteurs de goys ! ; LDJ + Klarsfeld : une alliance républicaine ? 2ème partie Alain Soral ennemi public n°2 ; interdictions (ou tentatives…) ; Haziza et Nabe auxiliaires de police ; Soral, l’agent iranien ; amendes records ; la vieille pédale se rebiffe. 3ème partie Jour de colère ; le philosémite islamophile du mois ; le destin de Taddeï ; en synthèse ; Matthieu 10:16. Posté par : ERTV 09-03-2014
Publié le : 24 février 2014 Source : vudefrance.fr VdF : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter ? MD : J’ai 45 ans, je suis diplômé d’école de commerce et j’ai exercé depuis 21 ans le métier de contrôleur de gestion, d’abord dans une direction financière, puis au sein d’un service ingénierie. Mon expérience me prédispose donc à percevoir prioritairement les aspects économiques, particulièrement sous l’angle des problématiques logistiques et industrielles. J’ai toujours tenté d’en tirer parti pour intégrer cette sensibilité particulière dans un tableau d’ensemble des problématiques abordées, afin de ne pas tomber dans l’erreur classique des économistes, qui ont tendance à ne voir que ce qu’ils regardent. VdF : Pour quelles raisons avez-vous décidé de vous engager dans le combat intellectuel ? MD : Parce que je ne trouvais pas dans « l’offre intellectuelle » existante certaines des réponses que je cherchais. Je suis quelqu’un,...
Publié le : 21 février 2014 Source : nfd.fr Du capitole à la roche tarpéienne, de la Place Beauvau à l’Elysée, il n’y a qu’un pas. Manuel Valls a sans doute pensé suivre Sarkozy sur le second itinéraire, mais il a en fait pris le premier. Le chouchou a chuté dans les sondages. L’explication en est simple. Il bénéficiait à droite d’un courant de sympathie pour tenir le discours ferme du Premier Flic de France. Mais il a révélé quatre faiblesses. La première appartient à la technique de communication. Sarkozy est un débatteur redoutable qui a rarement été dominé par ses contradicteurs, si ce n’est lors de la célèbre anaphore de Hollande. On se demande encore ce qui l’a retenu de faire un bon mot sur l’anticipation aventureuse et sur le narcissisme de la formule « Moâ président »… Philippot a éclaté Valls sur France 2. Devant le calme et la...