
« J’espère que ce sera un bon choix madame, bon choix mademoiselle, bon choix monsieur ! »... « plop ! » Thierry Le Luron & Pierre Desproges (1) Ca y est, Sarkozy l’a finalement eue, sa nouvelle présidence… du pauvre, celle de l’UMP !
Publié le : 27 novembre 2014 Source : Polemia.com Les électeurs votent souvent sur des promesses. Mais peut-on passer sous silence les bilans ? Ce n’est pas l’avis d’Henry de Lesquen. Farouche contempteur de Nicolas Sarkozy, Henry de Lesquen relève ici douze points de faiblesse dans la direction des affaires d’Etat de l’ancien président de la République. Un texte polémique mais d’une précision chirurgicale. Polémia _____ 1 – Accélération de l’immigration 200.000 immigrés légaux par an, sans compter les illégaux, alors que ce n’était « que » 150.000 par an avant 2002, du temps où le socialiste Jospin était premier ministre. Cela fait plus de deux millions en dix ans, de 2002 à 2012 (Sarkozy a été ministre de l’Intérieur de 2002 à 2007, à quelques mois près, président de la République de 2007 à 2012, et c’est lui qui, pendant ces dix années, a eu la haute main sur la politique...
1ère partie : Les djihadistes français, qui sont ces convertis ? _____ 2ème partie : 2017: Hollande à la case primaire ? _____ 3ème partie : Loi Taubira, faut-il abroger Nicolas Sarkozy ? _____ 4ème partie : Une loi contre la fessée ? Il y a des claques qui se perdent _____ 5ème partie : Coupe Davis, allez la France ! Posté par : itelé.fr 21-11-2014
Publié le : 15 novembre 2014 Source : bvoltaire.fr Selon Marx, « l’histoire ne se répète pas. Elle bégaie ». Nicolas Sarkozy en a fait l’expérience en 2012. Seulement, celle-ci ne lui a pas été profitable. Il espère encore repartir alors qu’il a perdu l’essentiel des atouts qui lui avaient servi jadis. Son élection de 2007 s’était faite à la hussarde. Elle s’était jouée sur des malentendus et des ambiguïtés savamment entretenus. Toutefois, comme Jacques Chirac avant lui, Nicolas Sarkozy s’est montré plus doué dans la conquête du pouvoir que dans son exercice. Après avoir mené une campagne droitière et populiste, il avait tombé le masque sitôt élu : cadeaux fiscaux aux plus favorisés, abandon de ses promesses en matière de sécurité ou d’immigration, pratique du pouvoir trop cavalière pour être honnête, etc. La conséquence fut qu’en 2012, il partait battu d’avance. Certes, son dynamisme et le charisme limité de François...
1ère partie : François Hollande et le « hollandisme révolutionnaire » _____ 2ème partie : l’UE, l’Ukraine et la russophobie des médias français _____ 3ème partie : l’affaire Jouyet, Le Monde et le petit milieu médiatico-politique _____ 4ème partie : l’oligarchie politique UMPS et la rencontre avec Florian Philippot Posté par : Europe1fr 10-11-2014
Publié le : 11 novembre 2014 Source : bvoltaire.fr Quand un vicomte (1935), paroles de Jean Nohain, musique de Mireille, et gros succès d’interprétation de Maurice Chevalier : « Quand un vicomte / Rencontre un autre vicomte / Qu’est-ce qu’ils se racontent ? / Des histoires de vicomtes… Quand une marquise / Rencontre une autre marquise / Qu’est-ce qu’elles se disent ? / Des histoires de marquises… Quand un gendarme / Rencontre un autre gendarme/ Rien ne les charme / Que les histoires de gendarmes. » La sagesse même, une sagesse passablement désabusée. Alors, rien d’étonnant, quand un ministre rencontre un autre ministre, s’ils s’administrent des histoires de ministres. _____ Le 24 juin dernier, François Fillon, Jean-Pierre Jouyet et Antoine Gosset-Grainville se retrouvent en toute discrétion dans un grand restaurant des Champs-Elysées, choisi pour l’excellence de sa cuisine et sa proximité avec le lieu de travail de chacun des trois convives. Trois hommes qui...
Publié le : 09 novembre 2014 Source : bvoltaire.fr « Souveraineté du peuple… Indépendance nationale… Sursaut républicain… Abolition des accords de Schengen… Réduction des compétences de l’Union européenne… Retour de l’honnêteté… » À ce vocabulaire et à ces thèmes, le connaisseur moyen de la vie politique française n’aura pas eu de peine à reconnaître le discours d’un orateur « populiste », puisque c’est ainsi que les médias persistent à qualifier avec mépris ceux qui ont l’outrecuidance de défendre la cause du peuple et de prendre le parti de la France. Oui, mais voilà, ce n’était pas Nicolas Dupont-Aignan, pas davantage Marine Le Pen et pas plus Jean-Luc Mélenchon, mais Nicolas Sarkozy qui s’exprimait ainsi l’autre soir porte de Versailles devant cinq mille militants enthousiastes. Sarkozy ? Mais oui, il s’agit bien du même, de l’homme aux mille casseroles, de celui qui, ministre puis président de la République, a joué un rôle déterminant, au mépris...
Publié le : 15 octobre 2014 Source : info-palestine.eu Le livre français, Les chemins de Damas, publié il y a quelques jours, provoque un scandale en révélant des éléments secrets sur la manière dont la présidence française a forcé le corps diplomatique et les services secrets français à se soumettre à la décision politique de renverser Assad et à manipuler les rapports sur les armes chimiques et la réelle puissance du régime syrien. Un livre publié à Paris il y a quelques jours et intitulé Les chemins de Damas, Le dossier noir de la relation franco-syrienne, par les journalistes français Georges Malbrunot et Christian Chesnot, donne de précieuses informations sur les coulisses de la relation entre Paris et Damas au cours des 40 dernières années. Ce livre d’investigation contient des informations et des interviews avec des personnalités étroitement impliquées dans le dossier syrien, des années 1980 à nos jours.En passant...