
Au cœur du Nouvel ordre mondial, la corruption des mœurs. Par la sexualisation des enfants, promue par l’abominable Dr Kinsey, les grandes agences onusiennes préparent la destruction de l’humanité. Posté par : Marion Sigaut – Officiel 01-04-2018
Publié le : 19 mai 2014 Source : bvoltaire.fr La fin de semaine dernière et jusqu’à dimanche soir, « Les Couples de la République » se sont exposés sur la place du même nom à Paris. Affichés sur de grands cubes entourant Marianne et sa fontaine sur la place rénovée, ce n’était – vrais ou faux, anonymes ou célèbres – que des duos du même sexe. « Tandems inattendus et forts », dit le commentaire de ces photos d’Olivier Ciappa réalisées pour la « Journée mondiale de lutte contre l’homophobie ». Je n’ai pas l’habitude de coller mon œil au trou de la serrure pour voir ce que les gens font dans leur chambre à coucher ou sur le canapé du salon. Je me fiche de savoir qui ils se tapent et comment. Cela ne me regarde pas et, surtout, je ne supporte plus qu’on m’oblige à regarder sous prétexte de m’éduquer ou, plus certainement,...
Publié le : 02 décembre 2012 Source : l-arene-nue.blogspot.fr Votre dernier livre, La société pornographique, établit un lien entre « porno » et « libéralisme ». N’est-ce pas devenu une antienne que d’accuser le libéralisme de tous les maux ? L’idée ne m’est même pas personnelle. C’est une opinion largement répandue, que vous trouverez par exemple dans La Cité perverse, de Dany-Robert Dufour. La pornographie réalise, dans tous les sens du terme, y compris cinématographique, le rêve ultime du libéralisme : faire du client lui-même la marchandise. L’art, avec le body art des années 1960-70, y avait pensé pour le meilleur. La pornographie l’a réalisé pour le pire. Produit et consommateur ne sont plus dissociés puisque ce que le porno vend au consommateur, qui ne s’en doute guère, c’est sa propre abolition en tant que sujet. Il fait de lui un pur objet de consommation. Par ailleurs, la pornographie...
Publié le : 01 novembre 2012 Source : polemia.com Le marketing de la dévirilisation Dès les années 1980, les publicités particulièrement esthétiques voire néoclassiques d’Yves Saint-Laurent et quelques autres spots de slips pour homme inauguraient l’entrée de l’homo-érotisme dans l’expression publicitaire. Deux raisons à cela. La première tenait à la meilleure connaissance de ces pulsions et de leur « travail » sur l’inconscient notamment masculin (y compris chez les hétéros purs et durs). La deuxième se nichait dans le profil même des géniteurs de ces pubs aux profils souvent typés « homo-toxicos » qui trouvaient enfin l’occasion de faire partager à la terre entière leur « univers ». Depuis, en trente ans de matraquage publicitaire, l’androgynie n’a cessé de déferler en 4×3 sur nos murs ou en prime time sur nos écrans. Quant à la silhouette squelettique du top modèle féminin, elle est bien souvent une vision de la...