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Source : Jean-Louis M.
Vous trouverez ci-dessous la retranscription d’un courriel que La Plume a reçu, envoyé par un lecteur de la Belle Province (le Québec pour les non-initiés). Merci Jean-Louis !
Vous le reconnaissez : C’est le billet de 100 dollars U.S.
Ce billet est sans doute le plus populaire, le billet préféré dans le monde entier.
Ce sont donc ces billets que nous utiliserons pour bâtir les « pyramides » décrites dans cette présentation.
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Ca, c’est une liasse de 10 000 dollars.
Cette somme permet de passer de bonnes vacances au bord de la mer ou de s’acheter une petite voiture d’occasion.
Un Terrien moyen doit bosser un an pour la gagner.
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Et voici 1 million de dollars.
Finalement, ce n’est pas aussi impressionnant qu’on pourrait croire, n’est-ce pas ? La plupart des habitants de notre planète ne gagneront jamais cette somme de leur vie.
C’est peut-être pour cela que l’expression « devenir millionnaire » est le rêve de tout petit-bourgeois..
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Passons à 100 millions de dollars.
Comme vous le voyez, ce montant tient sur une palette classique facilitant sa manutention.
On voit à côté, pour comparaison, une liasse de 1 million et une autre de 10 000 dollars.
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Ouf ! Nous arrivons maintenant au milliard de dollars…
Si vous souhaitez faire un vol dans une banque pour vous emparer de 1 milliard de dollars, il vous faudra un camion.
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Et voici à quoi ressemble 1 trillion de dollars.
Notez qu’il s’agit de deux étages de palettes de 100 millions de dollars chacune, soit l’équivalent d’un terrain de foot ou d’un Boeing-747 (toujours pour comparaison).
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Nous en sommes maintenant à 15 trillions de dollars.
Comme vous le voyez, le Boeing s’est caché derrière cette montagne de dollars, alors que la Statue de la Liberté commence à s’inquiéter, car ce montant est inférieur à la dette des États-Unis qui est -tenez-vous bien- de 114.5 trillions de dollars.
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114.5 trillions de dollars. La voici, la dette, elle est à droite sur la photo ci-dessus.
Si vous sautez de cette hauteur sur n’importe quel gratte-ciel américain, vous serez transformé en crêpe. Et si vous sautez sur la Statue de la Liberté, vous risquez de passer à côté. Or, pour se procurer cette somme, il n’y a guère que deux options : soit le gouvernement imprime ces trillions (ce qu’il fait d’ailleurs, good boy), soit les habitants des États-Unis les sortent de leurs poches.. humm.. ça c’est pas trop sûr, car les fins de mois son ‘rough’ (dures) !
Époustouflant, Non?
Y’a rien de mal à imprimer de l’argent… au contraire :
1. Ca garde les imprimantes en forme.
2. Ca crée des jobs !!
Comme ont dit dans mon « boute »: and the Beat Goes On !
