Caroline Fourest est, avec BHL ou Jacques Attali, une des stars incontournables de la bien-pensance journalistique française. Homosexuelle militante, bouffeuse de curé, anti-Front National viscérale, elle avait il faut bien le reconnaître toutes les qualités pour séduire nos chers médias de masse. Elle vient une fois de plus de s’y illustrer en réalisant une série « documentaire » pour la chaine de service public France 5. A noter qu’elle est déjà chroniqueuse ou journaliste sur France 2, France Inter et France Culture (le tout payé avec vos sous, donc). Cette série en quatre épisodes diffusée dans l’émission de Carole Gaessler Le Monde en Face, et intitulée Les Réseaux de l’Extrême va lui permettre une fois de plus de taper sur tout ce qui commet de près ou de loin le crime le plus insupportable qui se puisse être : ne pas être 100 % d’accord avec la conception toute personnelle qu’elle a de notre société, digne d’ailleurs du Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley. Ses cibles principales seront donc évidemment et comme à l’accoutumé le Front National, mais aussi la religion (église catholique et islam… Pour le judaïsme, par contre, on attendra encore longtemps !), les sceptiques de l’histoire officielle du 11 septembre 2001, et plus simplement tous ceux qui ont une idée divergente de la sienne que cela soit sur la famille, la sexualité, ou la société en général.
Une petite visite sur son blog (oui, je sais, c’est carrément maso, mais le devoir d’informer impose parfois des épreuves difficiles) permet de voir avec quelle modestie rafraîchissante la Caroline nous présente sa nouvelle « œuvre ». Je cite :
« Carole Gaessler présente, dans Le Monde en face, une série documentaire exceptionnelle réalisée par Caroline Fourest. La journaliste propose une enquête en quatre volets au cœur des mouvements radicaux qu’elle analyse depuis quinze ans.
Ils empoisonnent le débat public, les forums sur Internet et détruisent le vivre-ensemble. Eux, ce sont les « réseaux de l’extrême », des tribus d’internautes soumis à des mercenaires de la propagande passés maîtres dans l’art de désinformer pour mieux faire monter les tensions, radicaliser les identités et semer le soupçon contre les médias ou la démocratie. La journaliste Caroline Fourest, qui travaille sur les mouvances extrémistes depuis plus de quinze ans, a décidé de décortiquer leurs codes, d’en dévoiler les coulisses et de les décrypter.
Au travers de quatre documentaires incarnés et urbains d’un genre nouveau, Caroline Fourest mène l’enquête : rencontres avec les meilleurs décrypteurs, diffusion d’images souvent inédites en télévision… Elle démasque ainsi leurs méthodes de propagande et se confronte à leurs membres. »
On notera avec amusement la haute estime en laquelle Caroline Fourest tient… Fourest Caroline. « une série documentaire exceptionnelle »… Charité bien ordonnée commence par soi-même, mais avouez qu’elle fait fort, la donzelle ! Et à la troisième personne, encore : Alain Delon, sors de ce corps !
Les titres des quatre épisodes ensuite : « LES OBSÉDÉS DU COMPLOT… LES RADICAUX DE L’ISLAM… LES ENRAGÉS DE L’IDENTITÉ… LES NAUFRAGÉS DE SION »… Si le terme « radicaux » semble pour l’un des épisodes effectivement incontournable… Obsédés… Enragés… Naufragés… En matière de vocabulaire, on peut dire que la journaliste Fourest n’hésite pas, elle aussi, à se vautrer dans l’extrême ! Mais il n’y a bien entendu rien à attendre en matière d’objectivité de celle qui a d’ailleurs déjà été condamnée deux fois pour diffamation en à peine quelques mois pour des allégations mensongères dans son dernier ouvrage (1 & 2). Ce qui ne l’a pas empêchée de recevoir en ce début d’année la médaille de Chevalier de l’Ordre des Arts et des lettres des mains de la Ministre de la Culture, Aurélie Fillipetti, et n’a bien-sûr en rien nuit à sa carrière sur le service public français. CQFD.
Mais il est un réseau de l’extrême que madame Fourest ne dénoncera pas dans ses documentaires : c’est celui des Femen, ces soi-disant féministes dénudées d’un mouvement d’origine ukrainienne qui ont envahi l’espace public français depuis quelques mois. Ces gugusses à oualp s’étaient déjà plusieurs fois illustrées, notamment lors de la manifestation de Civitas en novembre dernier contre le Mariage pour Tous, en arborant en cette occasion des slogans aussi peu extrémistes que : « fuck God », « fuck church » ou autre « occupe-toi de ton cul », aspergeant les manifestants (dont des enfants) d’un liquide laiteux à l’aide de vaporisateurs estampillés « Holly Sperm » (sperme béni), j’en passe et des meilleures comme vous pourrez le voir sur les photos illustrant cet article. Car ces harpies hystériques bien peu soucieuses de l’esprit démocratique qui imposerait pourtant de simplement respecter les opinions de chacun, madame Fourest ne les trouvent pas extrêmes pour un sou : mieux, elle est leur grande copine, leur principal soutien médiatique. Elle était même la complice, si ce n’est l’initiatrice de leur « coup d’éclat » anti Civitas, comme le confirme d’ailleurs la première des photos ci-dessous.
Femen, le retour
Aujourd’hui mardi 12 février, les copines de Caroline Fourest en ont donc remis une couche dans le bon goût et la juste mesure : pour fêter à leur manière la prochaine démission de Benoît XVI, huit d’entre elles ont investi la cathédrale Notre-Dame de Paris en se mêlant aux visiteurs et pèlerins. Dissimulées sous de longs manteaux, elles se sont ensuite et comme elles en ont désormais pris l’habitude dénudées, arborant à nouveau des slogans antireligieux d’une grande élégance (voir photo) et se sont mises à faire carillonner les nouvelles cloches de la cathédrale, entreposées au sol dans la nef en attendant leur prochaine installation dans les tours. Tout cela sous l’œil bienveillant de médias prévenus à l’avance, et donc, une nouvelle fois, complices de cette double profanation.
Je suggère au passage aux Femen, pour prouver aux masses sceptiques (auxquelles je l’avoue j’appartiens) que leur détestation religieuse ne se réduit pas au seul catholicisme, d’investir pour leur prochaine action d’éclat une mosquée, ou -bien mieux encore dans la France d’aujourd’hui- une synagogue, juste pour voir comment elles y seront reçues, et surtout quel traitement médiatique leur vaudra alors leur si « sympathique » manifestation contre la religion… Allez : chiche !
Vous avez dit « extrême », madame Fourest ?
Marc LEROY – La Plume à Gratter
(2) http://counterpsyops.com/2013/01/22/nouvelle-condamnation-de-caroline-fourest-pour-diffamation/
[...] effet Inna Shevchenko, fondatrice des Femen et « réfugiée » en France où elle a initié les glorieuses actions que l’on sait, qui a servi de modèle pour la Marianne du nouveau timbre d’usage courant dévoilé le 14 [...]
Je suis d’accord : ces super femmes tolérantes et larges d’esprit n’auraient jamais eu le cran de faire ça dans une mosquée (quand on sait ce qu’ils pensent de la place de la femme). Ça les rends d’autant plus pathétiques et hypocrites
IL y a plus de finesse etde subversion dans cette simple caricature de KROLL que dans tout ce ramdam lesbo-athéo-anarchisant…..
https://fbcdn-sphotos-f-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/521417_10152184388710995_940402225_n.jpg
Dans certains cas de légitime défense, le viol devrait être toléré.
Il y a des coups de b…qui se perdent.
Amitiés.
Prestations nullissimes et pathétiques de quelques pauvres filles égarées !!!!
Que leur manque-t-il, ou que leur a-t-il manqué ?? Une maman aimante ? Un papa présent et un peu sévère ? Quelques bonnes fessées ? Quelques cases à coup sûr !!!
Un tel besoin de montrer leurs seins ferait presque pitié !
Un rappel à la loi un peu musclé serait dans tous les cas assez pertinent…
Il est aussi pathétique et carrément nul que les médias relayent ce genre de manifestations provocatrices et absconses qui ne méritent qu’un seul traitement : le mépris le plus opaque.