Peu avant sa mort, le célèbre et atypique businessman et réalisateur américain (qui a notamment réalisé à la fin de sa vie le film Amérique, de la liberté au fascisme qui sera très prochainement mis en lien sur La Plume) parlait avec Alex Jones sans prendre de gants de son parcours personnel, de sa prise de conscience de la réalité oligarchique et dictatoriale de la société américaine, de la nature profonde de son ambition, américaine ou mondiale, des manipulations, des pratiques, mises en œuvre pour atteindre le but ultime : la mise en place d’un gouvernement mondial aux mains de la banque. Parmi ces manipulations, Aaron Russo n’hésitait pas et très clairement à ranger les attentats du 11 septembre 2001, point de départ essentiel de l’instauration de la « guerre contre le terrorisme », et la guerre d’Irak et ses fameuses « armes de destruction massives » (on a pu depuis y rajouter les fumeux « printemps arabes », l’intervention en Libye ou la déstabilisation de la Syrie, ainsi que le coup d’état en Ukraine). Jusqu’à l’émancipation de la femme, à priori noble mais mise en réalité en œuvre pour des raisons consuméristes et pour détacher l’enfant de ses influences familiales.
Le témoignage qui date de près de trois ans mais toujours d’actualité, passionnant, parfois poignant d’un honnête homme qui a vu parce qu’il l’a approchée de près ce dont était capable l’oligarchie mondialiste au service de la banque qui manipule la politique américaine, avec les conséquences que l’on sait pour le monde. A méditer.
Marc LEROY - La Plume à Gratter
Posté par : Astaghfer
27-12-2011