Publié le : 05 août 2014
Source : synthesenationale.hautetfort.com
Le mystère des 45 000 clandestins évaporés des comptes du ministère de l’intérieur italien (voir notre note du 4 août : Italie envahie, 85 000 clandestins depuis janvier 2014) semble se dissiper peu à peu ; il est fort probable qu’ils se soient dispersés en Europe et notamment en France.
Une note de la Police de l’Air et des Frontière française vient de faire part de l’inquiétude des responsables face à la déferlante migratoire exotique venue l’Italie depuis le 1er janvier dernier : ces six derniers mois, c’est 5235 « migrants » érythréens ou se disant érythréens qui ont été interpellés pour la plupart à leur descente d’un tgv en provenance de la péninsule italienne et qui – à cause des procédures Schengen – n’ ont fait l’objet que d’une simple notification « d’obligation à quitter le territoire » avant d’être relâchés dans la nature, c’est à dire de s’égayer sur le territoire national (vers Calais par exemple) ou de gagner un autre pays européen (l’Allemagne essentiellement).
Pour 5 235 clandestins interpellés pour rien (57 « réadmis » en Italie et 4 placés en centre de rétention) combien ont pu passer entre les mailles d’ailleurs fort larges du filet de la PAF qui souffre d’un manque criant de moyens en hommes et en matériels? Et puis d’ailleurs pourquoi s’échiner à intercepter des clandestins pour qui tout ou presque est fait par la fort mondialiste commission européenne afin de faciliter leur pénétration sur notre continent (remorquage vers les côtes européennes et non éloignement des barcasses), leur assistance (par des associations de collabos du métissage universel qui ne peuvent pratiquement plus désormais être poursuivis comme complices d’immigration clandestine), leur entretien aux frais du contribuable dont l’avis n’est évidemment pas sollicité, leurs démarches pour pérenniser leur séjour voire pour faire venir leurs fort prolifiques familles.
Après cette révélation (qui va émouvoir les vacanciers moins que le mauvais temps), il y aura quelques politicards pour évoquer tristement la situation surtout pour parler du « drame humain » vécu par ces pauvres migrants, il n’y en aura guère pour oser dire que tout cela commence à faire beaucoup et encore moins pour évoquer l’urgence de prendre des mesures aussi courageuses que drastiques. A commencer par la mise en œuvre d’une volonté politique européenne forte et radicale de protection des frontières de notre continent consistant à empêcher l’immigration clandestine ou plutôt l’invasion migratoire clandestine par tous les moyens appropriés, la force armée si nécessaire. Il n’est plus temps de raisonner dans l’humain et le particulier, c’est toute l’Europe qui est menacée par une véritable invasion allogène. Et il serait juste que l’Union Européenne assiste dans ce combat les pays placés en première ligne sur les axes de pénétration. Il est peu être temps de faire comprendre aux passeurs et à leurs clients que franchir de force et en masse les grilles du poste frontière de Ceuta présente un risque majeur ou que la marine nationale italienne n’a pas vocation à travailler à l’invasion de son propre pays par Lampedusa interposée mais à en éloigner les envahisseurs par tous moyens. Mais cela l’Union Européenne, anesthésiée par les mondialistes de sa Commission, se gardera bien de le faire et continuera à palabrer sur l’harmonisation des chasses d’eau, des préservatifs ou des croquettes pour chats, un peu comme certains hauts politiques constantinopolitains le faisaient autour du nombre possible d’anges sur la pointe aiguë d’un couteau pendant que les ottomans installaient les canons qui ouvriraient la brèche fatale à la porte Saint Romain.
L’alerte rouge est donnée ! Tocsin, boute-selle et sonne-tambour… il est plus que temps de monter au créneau !
Yves Darchicourt