Faisons donc avec cette Gazette de La Plume, un rendez-vous qui reviendra dorénavant chaque mois, un petit tour d’horizon de quelques infos de cette première quinzaine du mois de février, infos qui si elles n’ont pas forcément justifié à elles seules (en tout cas selon votre serviteur) la rédaction d’un billet, méritent tout de même largement d’être portées à la connaissance de mes chers lecteurs !
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FRANCE
Frédéric Barbier acclamé à l’assemblée, ou l’UMPS illustrée par l’image
C’est apparemment le nouveau héros indépassable de l’oligarchie française, l’incarnation éclatante de l’UMPS (+ EELV + UDI + PC + Modem). Grâce à un appui sans faille de la quasi-totalité de la classe politique nationale (et les faux atermoiements de Nicolas Sarkozy ou le fumeux « ni-ni », complètement ignoré par l’électorat, n’auront en réalité trompé personne) et aussi et peut être surtout des médias, parmi lesquels une chaîne de service public, France 2, a joué les tous premiers rôles en matière de propagande anti-FN, le candidat socialiste à la succession d’un Moscovici parti chausser des pantoufles salariales et fiscales dorées sur tranches a fort laborieusement « triomphé », comme un bon petit cheval blanc, tous derrière et lui devant, et pour quelques centaines de voix à peine de la candidate du Front National, Sophie Montel. De quoi justifier apparemment une standing ovation de la caste, terrifiée à l’idée d’« accueillir » un troisième député FN (sur 577), hypothèse on en conviendra insupportable concernant un parti qui représente désormais un quart ou même un tiers de l’électorat français ! De quoi aussi, pour notre héros du jour, pondre un discours de résistant au fascisme d’un grotesque achevé (le grotesque, parce que le discours, censé être une question au gouvernement, ne le sera finalement même pas !). On vit vraiment une époque formidable ! La preuve par l’image, c’est ici :
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Femen : en France, on protège décidément bien plus DSK que la religion catholique !
On a les vaches sacrées que l’on mérite ! A ce compte, la Socialie fait très, très fort ! Depuis des mois, de Manifs pour Tous en profanation à Notre Dame de Paris, les Femen ont exhibé leurs slogans haineux et orduriers, leurs tristes nichons et leur vulgarité abyssale un peu partout en France. On les a même vues uriner en pleine rue sur la photo d’un chef d’état étranger, devant l’ambassade du pays en question, le tout sans aucune conséquence judiciaire pour elles.
Un sentiment d’impunité totale qui les a sans doute poussées à une audace totalement inconsidérée, folle même, puisqu’elles ont donc cette fois dépassé très largement, très gravement les limites du bon goût : en effet, et à l’occasion du procès du Carlton, elles s’en sont prises à… Dominique Strauss-Kahn… les insensées ! Cette fois, visiblement convaincue qu’il ne faudrait tout de même pas mélanger les torchons catholiques avec les serviettes oligarchiques, la justice de tata Taubira a donc décidé de taper du poing (à la rose) sur la table : les Femen vont être poursuivies pour… exhibition sexuelle ! CQFD.
Rassurant de voir que notre justice, pas aux ordres pour deux sous, a tout de même gardé le sens des priorités et, surtout, celui du VRAI sacré : défendre la dignité de millions de croyants et celle du Saint Père, pas question ! Défendre l’indignité d’oligarques sodomisateurs de prostituées et celle d’un pervers pépère affairiste de « gôche », je veux mon neveu ! Si nous avons la justice et les « élites » que nous méritons… nous ne sommes pas sortis de l’auberge de la boîte à partouze !
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Selon que vous serez PS ou FN, le tribunal administratif vous fera blanc ou noir !
On se souvient qu’en décembre dernier, Fabien Engelmann, qui avait été élu maire FN à Hayange en Moselle lors des dernières municipales, a été déclaré inéligible par le tribunal administratif… pour une somme de 1 575 € oubliée sur ses comptes de campagne. Décision d’une justice impartiale - dura lex sed lex (1) – faisant tomber le couperet de la Loi sans préjuger du justiciable ? Voire…
Car ce 09 février 2015, les mêmes instances administratives ont été nettement plus coulantes à Marseille avec six candidats… socialistes, mis en accusation pour des manquements de même nature, et pour des sommes nettement plus conséquentes (entre 20 000 et 53 000 € selon les cas). Cette fois, pas d’inéligibilité pour les candidats PS donc. Il faut dire qu’il y avait parmi eux… un député, Marie‑Arlette Carlotti, qui plus est ex‑ministre de Jean-Marc Ayrault ! Vous ne voudriez tout de même pas que l’on traite de la même façon des candidats du système, apparatchiks, députés ou/et ex-ministres, entourés de professionnels, et un jeune merdeux sans moyens et sans expérience, candidat du Front National ? Non mais, sans blague !
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L’affaire Tiki, ou quand le Canard Enchaîné dénonce un sans papiers !
Cela aurait pourtant dû être l’une de ces magnifiques histoires médiatico-politiques, dont la bienpensance qui sévit en France a la très précieuse exclusivité. La fulgurante ascension d’un jeune homme d’origine étrangère, modèle de l’intégration et de la « méritocratie républicaine », appelé aux plus hautes destinées dans un parti de droite certes, mais fort généreusement ouvert à la différence et au métissage. L’irruption dans notre paysage politique d’un Rama Yade en costume trois-pièces, certes nettement moins sexy mais ô combien représentatif de cette « France de demain » si chère, on le sait, au petit Nicolas !
Et puis… catastrophe ! Sortant en cette occasion un faux-vrai scoop (Minute l’avait déjà révélé il y a un mois, sans que cela ne provoque d’ailleurs à cette époque la moindre vague), le Canard Enchaîné a balancé la situation d’immigré illégal du malheureux dans son édition de mercredi. Aussitôt, le branle-bas médiatique s’est mis en marche, déclenchant sarcasmes et grincements de dents dans les rangs du parti de la « droite républicaine » (comme ils disent), ricanements gênés à gauche, où il est tout de même peu usité de se moquer ainsi des malheurs d’un damné de la terre, persécuté par l’inhumanité administrative à la française. Pris donc la main dans le parti de l’ex-SAC, le pauvre Stéphane Tiki a dû démissionner de ses fonctions à l’UMP, dans l’attente d’une régularisation qui, rassurez-vous braves gens, ne devrait pas tarder à intervenir !
Tout a été sidérant et grotesque dans cette histoire, dont on retiendra principalement trois éléments :
- Un Camerounais sans papiers (donc immigré illégal) peut tout à fait être nommé secrétaire national de l’UMP, et président de Jeunes Populaires avec la bénédiction de Nicolas Sarkozy !
- Le sérieux et le professionnalisme de la nouvelle direction du mouvement politique sous impérium sarkozien, censée remettre en trois coups de cuillère à pot de l’ordre dans un parti qui n’était plus, après la désastreuse parenthèse Copé et selon les jours, qu’une auberge espagnole ou – carrément – une écurie d’Augias, sont aveuglants d’efficacité, et absolument dignes d’éloge !
- Un canard de « gôche », perpétuel donneur de leçons éthiques, défenseur de la tolérance et de la solidarité avec les sans papiers, n’hésite cependant pas à les dénoncer en place médiatique, reprenant pour cela (et sans le préciser) un scoop de Minute… dès lors que les immigrés en question n’ont pas la bonne idée d’afficher des opinions politiques de gauche, c’est-à-dire compatibles avec celles du journal.
L’UMP ? Ca c’est du parti, mon Tiki !
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Pour être un pédophile heureux, rien de tel que l’éducation Nationale !
Les médias du système ont été remarquablement discrets sur le sujet, et pourtant les trois derniers mois ont été très chargés question pédophilie, dans l’Education nationale :
- Début décembre, à Kerguénec, en Loire-Atlantique, une enquête pour agression sexuelle visant un enseignant homosexuel a permis de découvrir que celui-ci détenait des milliers de photos pornographiques d’adolescents.
- En décembre encore, à Escautpont, dans le Nord, un instituteur était mis en examen pour agressions sexuelles sur mineures : une petite fille de 8 ans aurait subi des attouchements, et un de ses petits camarades aurait été embrassé sur la bouche par l’enseignant.
- Fin décembre toujours, un autre enseignant était jugé pour diffusion d’images pédopornographiques dans la région de Douai.
- Début janvier, à Longué-Jumelles dans le Maine-et-Loire, un professeur de collège a été arrêté pour le viol d’une mineure de 14 ans. Il l’avait contactée sur Facebook, et le jour de la rentrée scolaire après les congés de Noël, il lui avait donné rendez-vous à 8 heures, dans une salle de classe, où il a eu avec elle une relation sexuelle.
- Fin janvier, un professeur de musique était jugé par la cour d’assises du Territoire de Belfort. Il était accusé de viol sur un garçon de 14 ans.
- Fin janvier toujours, un enseignant de 56 ans passait devant le tribunal correctionnel des Deux Sèvres pour corruption de mineur : il avait notamment envoyé en quelques mois à un de ses élèves près de 6.500 SMS, soit en moyenne… 30 à 40 messages par jour, messages pour l’essentiel d’invitations à caractère sexuel.
- Le 28 janvier, un professeur de 28 ans exerçant dans le 11e arrondissement de Paris a été arrêté par l’Office central pour la répression des violences aux personnes, mis en examen par un juge d’instruction parisien, puis écroué. Il avait stocké chez lui des milliers de fichiers pédopornographiques.
- Le 10 février, un instituteur qui avait fait des avances sur Internet à ce qu’il pensait être une fillette a finalement été relaxé de l’accusation de corruption de mineur. Il avait pourtant été reconnu coupable de ce chef d’accusation en première instance (il n’est au final jugé coupable que pour possession d’images pédopornographiques). Condamné dans un premier temps à trois ans de prison avec sursis, il ne l’est plus que pour un an, toujours avec sursis.
… au moins huit affaires pédocriminelles en moins de trois mois dans l’Education nationale, et vous n’en aurez absolument pas entendu parler dans les grands médias. Supposez ne fût-ce qu’un seul instant que cette sinistre liste, même réduite des deux tiers ou des quatre cinquièmes, ait concerné, non pas l’école publique… mais l’église catholique : vous imaginez les dizaines d’articles qui auraient noirci les colonnes de la presse nationale, les sujets accusateurs et les reportages scandalisés qui auraient fleuri à longueur d’antenne radio ou de journal télévisé ?
Pour être un pédophile heureux (et bien caché), rien ne vaut donc l’école (et l’omerta) de la République !
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Roger Hanin est mort…
Roger Hanin s’est éteint ce mercredi 11 févier 2015, à l’âge de 89 ans. Celui-ci devait presque exclusivement sa carrière à l’entremise sonnante et trébuchante de sa productrice de femme, Christine Gouze-Rénal, la soeur de Danielle Mitterrand. Une proximité familiale qui lui ouvrira les portes du pouvoir, lui vaudra le qualificatif de « beauf du Président » et qui fera presque autant pour sa notoriété que sa carrière de comédien, principalement marquée par des participations presque systématiques aux navets communautaires du consternant Alexandre Arcady.
Caricature de pied-noir, Roger Hanin s’il était un acteur assez quelconque, n’était pas le quart de la moitié d’un modeste : je me rappelle très clairement d’une entrevue qu’il avait donnée, à l’occasion de sa reprise au théâtre du rôle de César dans la célèbre trilogie de Marcel Pagnol, où le cuistre se vantait d’avoir « dépoussiéré le rôle », malheureusement marqué avant lui par l’interprétation d’un Raimu qui « datait » beaucoup. Si, si. Le bougre se prenait pour un grand acteur, et apparemment, il n’était pas le seul comique à le penser : dans le torrent de louanges qui ne tardent pas à couler lors de l’annonce médiatique de la mort de telle ou telle tronche un peu célèbre, Jean-Michel Ribes, jamais avare d’une couillonnade de première, n’a pas manqué de déclarer que Roger Hanin était de la trempe d’un Gabin. Si, si, aussi.
Pour sa part, l’auteur de ces lignes n’a pas grand chose d’autre à dire de la mort de Roger Hanin… si ce n’est une furieuse envie de citer l’un de ses maitres en (très) mauvais esprit, le regretté Pierre Desproges, déclarant, en évoquant dans un de ses sketchs la mort de Georges Brassens : « j’ai pas peur de l’avouer, j’avais quarante ans passés, et bien, le jour de la mort de Brassens, j’ai pleuré comme un môme. J’ai vraiment pas honte de le dire. Alors que – c’est curieux – mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules ». Je n’aime pas les moules… je n’en ai donc pas repris. Mais le cœur y était.
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MONDE
Tout ça pour ça… La Serbie blanchie du crime de génocide par la Cour internationale de justice !
Près de vingt ans après les faits, la justice internationale vient de livrer son verdict définitif concernant les accusations portées notamment par la Croatie à l’encontre de la Serbie…
Rappelez-vous, c’était sous François Mitterrand… l’« intervention humanitaire » contre la Serbie était lancée par la plus grande coalition militaire jamais réunie depuis la seconde guerre mondiale, faisant suite à une gigantesque opération de propagande et de désinformation mettant en avant (et sans le début de commencement d’une preuve) un nombre considérable de victimes, un véritable génocide, une épuration ethnique méticuleusement mis en œuvre par des Serbes sanguinaires, « dignes » successeurs d’Adolf Hitler, contre les Croates, les Kosovars, les Bosniaques. Cette intervention militaire démesurée, ayant provoqué des bombardements plus intensifs que ceux ayant touché l’Allemagne durant toute la guerre de 39-45, véritables crimes de guerre commis par l’OTAN et ses affidés contre des civils et contre un état souverain, la Serbie, qui luttait principalement contre une organisation terroriste et mafieuse (l’UCK), a finalement débouché sur l’amputation du territoire serbe (Kosovo et Monténégro) et fait des milliers de victimes et des millions de déplacés.
Saisie sur les « crimes » serbes par la Croatie, la Cour internationale de justice a finalement conclu que… les Serbes n’ont pas commis de génocide. Ce jugement est désormais définitif et sans appel, et referme l’un des plus invraisemblables épisodes de manipulation médiatique de l’opinion et de propagande impériale et géopolitique de notre époque.
Vous aurez sans doute été surpris de constater que nos chers merdias, hier il est vrai si enthousiastes à emboîter le pas des va-t-en-guerre pour « sauver le Kosovo » des atrocités commises par les ogres serbes, ont été d’une discrétion de rosière concernant ce jugement de la CJI. Il est vrai qu’il y avait mieux à faire en matière de justice ces derniers jours : les sodomies de DSK, c’est tout de même plus croustillant qu’un génocide qui n’a finalement jamais existé, mon coco !
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Le féminisme saoudien, c’est comme la connerie, ça ose décidément tout !
Vous ne le connaissez pas, et vous allez voir que c’est bien dommage ! Il s’appelle Saleh al-Saadoon, c’est un historien saoudien, et il s’exprimait il y a quelques jours sur la chaîne de télévision Rotana Khalijiia. Le sujet de cette intervention qui restera dans les annales ? L’interdiction faite aux femmes en Arabie Saoudite de conduire une voiture.
Le bon docteur al-Saadoon nous le dit, et vous seriez bien mal venus de ne pas boire (religieusement) ses paroles : l’interdiction faite aux femmes de conduire une voiture n’est pas une mesure misogyne inspiré par un état totalitaire (l’Arabie Saoudite) et une religion (l’islam wahhabite) qui méprise les femmes : c’est même tout le contraire ! C’est une mesure de défense de la condition féminine, et Saleh nous dit pourquoi : imaginez un peu qu’une femme saoudienne, au volant de sa voiture… tombe en panne. La voilà au bord de la route, seule et sans défense, victime potentielle du premier violeur venu ! L’horreur pour un humaniste féministe comme notre bon docteur ! Les Etats-Unis, l’Europe, le reste du monde « se fichent de savoir si les femmes sont violées sur le bas-côté, mais pas nous » enchaine notre humoriste du jour. Alors que son interlocutrice, interloquée, lui demande : « attendez, qui vous a dit que ces femmes (les non saoudiennes, CQFD) se fichent d’être violées ? » Saleh ne se démonte pas et embraye : « elles ne font pas grand cas des conséquences morales… dans notre cas, cependant, le problème est de nature sociale et religieuse ». De plus en plus en forme, notre historien gynocentré continue : « les femmes saoudiennes ont pour chauffeur leurs époux, leurs fils et leurs frères, tout le monde est à leur service, elles sont traitées comme des reines »… évidemment, vu sous cet angle. Il leur arrive même assez fréquemment d’être lapidées… comme des reines, bien-sûr !
Mais notre gaillard, à présent déchaîné, ne s’arrête pas en si bon chemin : alors que la journaliste, entre deux rires incrédules lui demande encore : « vous craignez qu’une femme puisse être violée sur le bas-côté par des soldats, mais vous ne craignez pas qu’elle soit violée par leur chauffeur ? », Saleh al-Saadoon répond, absolument royal : « il y a une solution, que les autorités et les religieux refusent d’entendre, la solution est de faire venir des étrangères pour conduire nos femmes ». Il est vrai que violer des roumies, c’est nettement moins problématique : toute l’histoire du monde arabo-musulman est là pour en attester ! Pour ceux qui comprennent l’anglais… c’est encore plus « savoureux » avec l’image, et c’est visible ci-dessous !
Notre chère Christine Lagarde a dû en frémir de plaisir : des féministes comme les Saoudiens, on n’en fait hélas plus guère dans nos tristes pays occidentaux : car ici tout se perd, surtout la galanterie. Heureusement, pour sauver l’honneur, il reste Saleh al-Saadoon et le féminisme à la saoudienne !
Allez, c’est tout pour la gazette du jour : rendez-vous à la fin du mois pour la prochaine !
Marc LEROY – La Plume à Gratter
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1) La loi est dure, mais c’est la loi !
Cette gazette, en opposition avec l’ignoble mêlasse cuisinée par les médias de la ploutocratie, est très sympa. Merci pour ce déterrage d’informations.
Sacrée gazette, dites donc, un tour d’horizon complet et surtout des petites nouvelles de celles qu’on nous cache systématiquement afin de ne pas nous effaroucher! Bravo, bon boulot!
Amitiés.