Le ridicule ne tue pas... hélas ! Mille fois hélas ! L'outrance, l'indécence, la malhonnêteté intellectuelle non plus. Manuel Valls ne pourra jamais assez remercier la providence pour ce malheureux état de fait...
Le pouvoir perd de plus en plus clairement et de plus en plus complètement les pédales : notre part de flan présidentielle, entre un tête à tête « écolo » avec Marion Cotillard, une partie de « n’golo-n’golo dans la case »...
Je ficherais sans trop hésiter ma main au feu que vous en avez tout autant que moi raz le béret « français de souche » (ou pas) de ces autoproclamés « démocrates » qui excluent de la citoyenneté respectable...
Et l’on n’est qu’en février2015 ... le gouvernement « Valls II » passera-t-il seulement l’hiver ? Les évènements se précipitent, les dégâts collatéraux aussi : à coup de 49-3 hier voué aux gémonies et aujourd’hui...
Depuis la charge scandaleuse, l’ignoble attaque, l’abjecte diatribe de Roland Dumas contre le jeune Premier ministre que François Hollande « a donné à la France » (ça me rappelle quelque chose, tiens…), nos médias ne parlent désormais...
On ne voulait, on ne pouvait plus le croire le pépère de l’Elysée tant il avait, jusqu’à présent, consciencieusement trahi à peu près tous ses engagements et slogans de campagne présidentielle… Depuis cette baisse prochaine...
Faisons donc avec cette Gazette de La Plume, un rendez-vous qui reviendra dorénavant deux fois par mois, un petit tour d’horizon de quelques infos de cette première quinzaine du mois de février, infos qui si elles n’ont pas...
Le sujet de ce billet pourrait de prime abord paraitre assez anecdotique, mais il me semble en réalité fort utile - parce que particulièrement éclairant - pour bien appréhender la réalité journalistique, les mœurs médiatiques qui prévalent...
Cette fois c’est avéré : le système politique français, basé sur un bipartisme de deux grands « partis de gouvernement », instauré depuis des décennies grâce à un affrontement gauche-droite pourtant depuis un bon moment...
Je dois vous faire un aveu préalable avant d’aller au fond (c’est le cas de le dire !) de cette affaire : il y a près de quatre ans que je n’ai plus la télévision. J’ai décidé à l’époque que je n’avais décidément plus le temps de chercher l’improbable pépite d’information...
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