Posté par : itélé 13-08-2014
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Note de La Plume : votre serviteur, déjà sacrément secoué par la sortie pro LDJ de Marine Le Pen, est désormais KO debout suite à la récente et invraisemblable tribune géopolitique d’Aymeric Chauprade, tribune mélangeant à peu près tout et n’importe quoi : Sur un plan intérieur – et tragiquement – la lutte contre l’immigration de masse (lutte totalement légitime et ô combien nécessaire, après des décennies de démission et de trahison de nos « élites », trahison entraînant le grand remplacement de population mortifère pour notre culture et nos valeurs aujourd’hui en cours en France) et une islamophobie monomaniaque et manichéiste directement issue du fumeux Choc des civilisations prétendant justifier, au nom du con-cept (en deux mots, et c’est exprès) de l’ennemi commun, une solidarité presque viscérale avec le sionisme israélien... Sur le plan extérieur – et lamentablement – un juste soutien des populations (chrétiennes mais aussi, on a tendance...
Gilbert Collard, Député du Gard, était l’invité de Jean-Jérôme Bertholus sur le plateau de la matinale info d’i>Télé. Note de La Plume : ça partait pourtant très bien, tant qu’il s’agissait d’évoquer le retour et le bilan sarkozien. Et puis, à la fin, c’est la sortie de route lamentable, impardonnable, sidérante sur le conflit israélo-palestinien. Je cite : « Israël existe on ne doit pas y toucher… » Mais la Palestine n’existe pas, donc du coup on peut massacrer allègrement les Palestiniens ? Et cela fait plus de 60 ans que ça dure ! « …Or le Hamas ne reconnaît pas Israël »… La bonne blague et l’habituelle tarte à la crème des pro-sionistes ! Parce qu’Israël reconnait la Palestine, peut-être ? « Le Hamas déclenche les hostilités » … On rêve ! Les Palestiniens sont spoliés depuis des décennies, on les colonise en leur prenant illégalement leurs terres, leurs maisons, leur eau… On les enferme derrière un...
Quelles sont les limites des mouvements de « solidarité »? Les actions et les engagements « politiques » exigent que les citoyens s’assurent que leur propre autonomie et leur espace de liberté d’expression ne soient entravés d’aucune manière, par des intérêts sectaires, contraires au bien commun. Pour le professeur Jean Bricmont il y a une nécessité absolue pour nos sociétés à reconquérir cette autonomie confisquée. Vidéo et interview réalisés par Gérard Lazare pour Arrêt sur Info. Posté par : Arrêt sur Info 03-08-2014
Le 18 décembre 2013, devant la commission parlementaire de « lutte contre l’insécurité », le général Bertrand Soubelet, alors numéro trois de la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), avait exprimé de fortes réserves sur la politique pénale du gouvernement. En préambule de son allocution, il avait déclaré vouloir livrer, je cite : « Une petite analyse personnelle, peut-être un petit peu iconoclaste, mais je pense que si on ne peut pas être iconoclaste avec la représentation nationale, on ne peut l’être nulle part ». Son interlocuteur parlementaire lui répondant alors : « je vous encourage à être iconoclaste, il n’y a pas de problème. On est là pour débattre, donc au contraire ! ». Voici ce qu’avait donc déclaré ce jour-là le général de gendarmerie. « J’espère ne pas avoir abusé de ma liberté de parole » avait au final ajouté le malheureux, qui avait certes dit quelques vérités, mais avait continuellement et très largement...
Vidéo disponible en 720 HD Comment les Européens ont-ils pu basculer, sans bruit, sans violence et presque sans s’en apercevoir, dans un régime antidémocratique ? Comment ont-ils pu laisser leurs gouvernements renoncer progressivement à ce qui leur était le plus cher : leurs libertés, à commencer par celle de choisir souverainement leur destin, ainsi que leurs communautés nationales ? Cette préservation des souverainetés était une condition impérieuse de la paix : l’Histoire nous enseigne que les démocraties modernes ne se font jamais la guerre entre elles. À l’heure où la dette publique, la pauvreté, la crise d’identité et la défiance populaire atteignent une ampleur historique sur le continent, la question de l’avenir démocratique de l’Europe paraît d’autant plus cruciale. Tels sont les enjeux en train de se nouer derrière les accélérations fédérales en cours, depuis le déploiement des effets du traité de Lisbonne jusqu’aux nouvelles bases juridiques d’une gouvernance...