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La découverte du mois : Mélenchon n’est pas Tsipras – Par Descartes

Europe
Le 5 février 20150
La Méluche, tout à sa récupération éhontée du phénomène Siriza, prend ses désirs internationalistes pour des réalités française

Publié le : 04 février 2015 Source : comite-valmy.org C’était inévitable. Je veux bien entendu parler de la réaction enthousiaste de la « gauche radicale » française le soir de l’élection grecque. Dans la maison Mélenchon, la consigne – martelée par son entourage – était simple : « je suis Tsipras » (ou plutôt, avec l’exquise modestie qui caractérise le personnage, « Tsipras est « le Mélenchon grec »). Chez Pierre Laurent, le ton est comme d’habitude plus mou, mais le cœur y est : « la victoire de Syriza ouvre la voie au changement en Europe ». Chez « Ensemble », où le ridicule ne tue d’évidence pas – sans quoi ce groupuscule serait déjà plusieurs fois mort – on compare la victoire de Syriza à « la rupture fondamentale dans l’histoire connue de l’humanité s’est produite en Grèce . Pour la première fois, des êtres humains ont affirmé explicitement que les lois qui les gouvernent sont...

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Pour Angela Merkel, le cauchemar commence… Par Christophe Servan

Economie
Le 27 janvier 20150
Grèce, QE de la Banque Centrale... pour tata Angela, c'est sans doute le début des vraies emmerdes...

Publié le : 27 janvier 2015 Source : bvoltaire.fr Aujourd’hui, les créanciers de la Grèce sont principalement la BCE, les États européens et le FMI. Ensemble, ils détiennent (ou financent, car la part détenue par les banques grecques est entièrement refinancée par la BCE) 85 % de la dette grecque. Lorsque Aléxis Tsírpas veut renégocier un allègement de la dette grecque, cela signifie donc in fine qu’il veut leur faire avaler une perte sèche. On parle de 100 milliards d’euros au minimum, qui se rajouteraient aux 107 milliards d’euros de créances déjà abandonnées en 2012. Si les créanciers refusent, alors la Grèce pourrait sortir de l’euro ou bien, plus vraisemblablement, faire défaut sur les intérêts ou le capital à rembourser, dus en 2015. Du point de vue grec, ce chantage – car c’est un chantage – est de bonne guerre. Les Européens tiennent — semble-t-il — à l’euro comme à...

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