Publié : 02 août 2014 Source : espritcorsaire.com Il y a d’abord ce soudain intérêt du New York Times pour les rançons payées par les États européens lorsqu’il s’agit de libérer leurs otages ici ou là. Au passage, la France éternelle en prend pour son grade mais c’est surtout l’Allemagne qui est ciblée. En 2002, les gouvernements allemand et autrichien avaient payé, rubis sur ongle, plusieurs dizaines de milliers d’euros aux jihadistes sahéliens pour libérer une dizaine de leurs ressortissants venus du sud tunisien piller des peintures rupestres dans le sud algérien. Pudiquement, Berlin et Vienne avaient juré la main sur le cœur qu’on ne négocie pas avec les terroristes et qu’il était encore moins question de leur verser quoi que ce soit. Dernièrement, Paris a adopté la même posture après la libération de quatre journalistes français aux mains des « révolutionnaires syriens » par ailleurs soutenus par le...
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