Posté par : thinkerview 14-02-2015
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Publié le : 14 février 2015 Source : lesakerfrancophone.net L’historienne Annie Lacroix-Riz, spécialiste de la première moitié du XXe siècle, prononçait le 14 février, à la Sorbonne, une conférence intitulée: Partages et repartages du monde à l’époque des Première et Deuxième Guerres mondiales. Un point de vue marxiste-léniniste sur les rivalités inter-impérialistes. Mais d’abord, elle a resitué son intervention dans le contexte universitaire et intellectuel français d’aujourd’hui, un contexte de censure proprement maccarthyste, où même les bibliothèques universitaires ne donnent accès aux étudiants qu’aux ouvrages d’une seule ligne politique, la ligne officielle. Alors que, sur l’histoire de l’URSS, le catalogue présente des livres de Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann (dont on connaît le sérieux et les compétences !), le bibliothécaire de Paris I Sorbonne a refusé l’achat d’un livre de référence, Les Guerres de Staline, de Jeffrey Roberts (publié en français en 2014 par les éditions Delga), en prétextant son...
Publié le : janvier 2015 Source : scriptoblog.com Le chaos n’est plus l’ennemi des classes dirigeantes. Le chaos est devenu la stratégie privilégiée du Système. C’est la thèse développée par Lucien Cerise, essayiste venu de l’extrême gauche et auteur remarqué d’un essai, Gouverner par le chaos (mais aussi d’un roman : Oliganarchy ), qui décrit l’orchestration rationnelle et méthodique de cette guerre de tous contre tous. _____ Alain de Benoist : Après des études dans le domaine des sciences sociales, en particulier la communication et la sémiotique, vous avez publié en 2010, chez Max Milo, un livre qui ne comportait aucune signature : Gouverner par le chaos (dont une nouvelle édition doit paraître ces jours-ci). Il était pour l’essentiel consacré à la mise en œuvre de toute une série de techniques relevant de l’« ingénierie sociale ». Qu’entendez-vous par là ? La gouvernance par le chaos est-elle le nouveau nom du Système ? Quelle différence...
C’est aux Matins de France Culture que nos deux invités d’aujourd’hui se sont rencontrés, il y a presque trois ans, le 6 octobre 2011. Et ce fut une rencontre fructueuse, puisque de leurs débats ils ont décidé de faire un livre, sous forme d’échange de lettres pour confronter leurs analyses. Jacques Julliard est historien, éditorialiste à Marianne, et il a beaucoup travaillé sur le syndicalisme. Jean-Claude Michéa est philosophe et il étudie la gauche, il a notamment publié Les Mystères de la gauche en 2013. Dans leur livre commun, La Gauche et le peuple, qui paraît aujourd’hui chez Flammarion, ils partent d’un point de désaccord : la gauche s’est-elle déconnectée du peuple, ou n’a-t-elle en réalité fait avec lui que des alliances de circonstances ? A l’heure où la gauche se divise, sanctionne ses députés frondeurs, et se cherche une nouvelle identité en lançant ses Etats généraux, leurs sujets...
Le 26 décembre 2014, Méridien Zéro recevait Charles Robin, auteur du formidable La gauche du capital : Libéralisme culturel et idéologie du marché (éditions Krisis), pour un débat autour de son livre, écrit par un « disciple » de Jean-Claude Michéa, pour ce qui est de l’analyse et la critique sans concession d’une gauche libertaire vendue au capitalisme financier. Participaient au débat le maitre de cérémonie PGL et Pascal Eysseric, de la revue Eléments. Cela donne une discussion absolument passionnante, essentielle même en ce que Charles Robin, nous expliquant d’abord son cheminement politique personnel, décortique et expose en pleine lumière les renoncements, les trahisons même d’une soi-disant « gauche » qui a trahi le peuple pour se vautrer dans l’économie de marché, abandonnant le social pour un dérisoire et destructeur « sociétal » tout à fait compatible (et même plus véritablement allié) avec la marche forcenée vers le mondialisme ultralibéral, la réification de l’homme et...
Publié le : 27 janvier 2015 Source : michelcollon.info Le Continent africain, qui possède à lui seul un quart des terres fertiles mondiales, concentre 41% des transactions foncières, sur un nombre total de 1 515 transactions à travers le monde, selon un récent rapport de l’ONG Action Aid International, datant de fin mai 2014. « Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions de grande échelle ont été documentées, soit une superficie totale de 60 millions d’hectares », a avancé l’ONG qui a précisé qu’« aussi, il est probable que bon nombre d’acquisitions de moyenne ou grande envergure demeurent à ce jour ni documentées, ni quantifiées ». Ce rapport d’une vingtaine de pages, intitulé « Hold-up sur les terres : comment le monde ouvre la voie aux accaparements des terres par les entreprises », nous révèle en effet l’ampleur de ce phénomène qui menace, non seulement la survie de...
Le 21 novembre, Jean-Louis Roumégace recevait dans le studio de Méridien Zéro Lucien Cerise et Thibaut Philippe, pour une émission consacrée au formidable livre de Stuart Ewen « La société de l’indécence – Publicité et genèse de la société de consommation » (éditions Le Retour aux Sources). En 1983, celui-ci avait publié « Consciences sous influence – Publicité et genèse de la société de consommation ». Un livre devenu pour beaucoup une référence incontournable de la critique sociologique, aujourd’hui republié donc sous un nouveau titre : « La société de l’indécence ». Stuart Ewen y retrace l’origine de ce que Guy Debord nomma pour sa part le Spectacle, allié objectif bien que jamais défini comme tel de la guerre culturelle menée pour l’expansion du modèle américain, finissant par instaurer après des décennies de mise en œuvre une véritable société de l’indécence, en opposition frontale avec la fameuse common decency...
Le 21 novembre, Jean-Louis Roumégace recevait dans le studio de Méridien Zéro Lucien Cerise et Thibaut Philippe, pour une émission consacrée au formidable livre de Stuart Ewen « La société de l’indécence – Publicité et genèse de la société de consommation » (éditions Le Retour aux Sources). En 1983, celui-ci avait publié « Consciences sous influence – Publicité et genèse de la société de consommation ». Un livre devenu pour beaucoup une référence incontournable de la critique sociologique, aujourd’hui republié donc sous un nouveau titre : « La société de l’indécence ». Stuart Ewen y retrace l’origine de ce que Guy Debord nomma pour sa part le Spectacle, allié objectif bien que jamais défini comme tel de la guerre culturelle menée pour l’expansion du modèle américain, finissant par instaurer après des décennies de mise en œuvre une véritable société de l’indécence, en opposition frontale avec la fameuse common decency...
Le 10 décembre 2014, Emmanuel Ratier (assisté par Pascal Lassalle) recevait dans son Libre Journal de la Résistance Française sur Radio Courtoisie : Pierre Stadere (analyste financier), Lucien Cerise (sociologue et écrivain), Gabriele Adinolfi, (journaliste italien), Alain de Benoist (essayiste et philosophe) et Jean-Paul Chayrigues de Olmetta (journaliste). Le thème du débat (absolument passionnant !) de cette émission était : Crise du système ou système de la crise ? Marc LEROY – La Plume à Gratter Posté par : Marc LEROY La Plume à Gratter 13-12-2014