Publié le : 16 janvier 2016 Source : boursorama.com Le torchon brûle entre le chef du gouvernement italien Matteo Renzi et la Commission européenne autour de la flexibilité budgétaire et de la crise migratoire, sur fond de différends plus profond entre Rome et Berlin. L’escarmouche, qui a eu lieu vendredi avec le président de la Commission Jean-Claude Juncker, a été sans précédent: « L’Italie mérite le respect » et « ne se laisse pas intimider », a grondé le président du Conseil Matteo Renzi. Sur la chaîne Canale 5, M. Renzi, très remonté, a assuré que la flexibilité budgétaire qu’il juge nécessaire pour stimuler la croissance dans l’UE avait été acceptée « après que l’Italie l’a réclamée de manière très, très insistante ». « La flexibilité, c’est moi qui l’ai introduite, pas lui. J’ai beaucoup de respect pour le président du Conseil, mais il a tort d’offenser la Commission européenne », avait lancé auparavant le président luxembourgeois...
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