Publié le : 29 mars 2012 Source : causeur.fr Damoiselle Lévy est connue pour son ouverture d’esprit presque autant que pour sa complaisance à toute épreuve à l’endroit des faits et gestes de M. Strauss-Kahn. C’est son droit, comme on dit dans mon village corse. Cependant, je ne voudrais pas qu’elle s’égare dans l’excuse perpétuelle, telle la première mère juive venue avec son rejeton. Précisons d’emblée son propos lapidaire d’ouverture : la Sainte Inquisition n’a que très peu chassé et brûlé les sorcières, et encore fort tardivement, après de nombreux débats internes, toute occupée qu’elle était à morigéner l’hérétique. Ce sont bien plutôt nos amis calvinistes ou théoriciens de la souveraineté, comme l’inénarrable Jean Bodin, qui à l’époque de la Réforme et de la Renaissance humaniste, se sont spécialisés dans le nettoyage forestier des sabbats nocturnes. Mais peu importe, venons-en aux faits. Dominique Strauss-Kahn est-il un banal libertin, ou...
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