Posté par : BFMBusiness 02-09-2013
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Publié le : 06 septembre 2013 Source : les-crises.fr Kai A. Konrad, conseiller en chef du ministre allemand des Finances, s’attend à l’effondrement de la zone euro. Il propose que l’Allemagne quitte l’union monétaire – c’est l’Europe, non l’euro, qu’il faudrait sauver selon lui. L’économiste du Max-Planck-Institut et conseiller scientifique en chef du Ministère des Finances, Kai A. Konrad, craint que le ralentissement de la dynamique économique constaté dans l’ensemble de l’Europe n’en vienne à s’accélérer notablement. Il affirme qu’en cas de crise grave l’Allemagne devrait abandonner l’euro. La crainte que cette sortie ne provoque une catastrophe pour l’économie allemande est selon M. Konrad largement exagérée. Tout au contraire, les entreprises du pays pourraient en sortir renforcées. Die Welt : Monsieur Konrad, le gouvernement a reporté toutes les décisions importantes concernant la crise de l’euro à l’après-élections. Tente-t-on de tromper les électeurs ? Kai A. Konrad : Je crois...
Enquête sur le géant Apple et sur de grandes marques d’électroménager, de téléphonie ou d’ordinateurs, qui font tout pour limiter la durée de vie de leurs produits pour que les consommateurs en achètent davantage. Les techniques de l’«obsolescence programmée» sont variées et sophistiquées et leurs conséquences sont claires : surconsommation généralisée et au bout de la chaine, de gros dégâts environnementaux. En 1985, un ordinateur fonctionnait au moins dix belles années. Aujourd’hui, c’est trois ans, au mieux, comme si la vitesse de péremption était la nécessaire contrepartie du progrès. Idem pour les lave-linge ou les chaînes hi-fi, dont l’espérance de vie semble inversement proportionnelle à celle de leurs utilisateurs. Pourquoi faut-il changer son téléviseur tous les trois ou cinq ans ? cette enquête explore le concept d’« obsolescence programmée » et pointe la responsabilité des fabricants. D’abord Samsung et ses télés éphémères (en cause, des composants bas de gamme...
Publié le : 08 juillet 2013 Source : l-arene-nue.blogspot.fr Ce n’est pas un hasard si le discours politique a fait l’objet de tant d’études : en politique, les discours sont des actes. Pour savoir qui « commande » l’Union européenne, rien de plus efficace, donc, que d’étudier la portée des discours des uns et des autres. Nul ne le sait aussi bien que Mario Draghi, le patron de la banque centrale européenne (BCE) dont les prises de positions sont désormais attendues comme paroles d’évangile. Et pour cause : quand bien même il ne fait rien de concret, ses déclarations ont un effet quasi magique au sein de la « Planète finances » et mettent du baume au cœur de messieurs « Les Marchés ». On s’en souvient, c’était à la fin de l’été 2012. La zone euro vivait l’un des chapitres les plus hard de son interminable crise. Le long chapelet des « sommets de la dernière chance »...
Publié le :26 juin 2013 Source : les-crises.fr Nous avons vu le mois dernier que le soutien des Français à l’Union Européenne est passé en un an de 60 % à 41 %. Ni une, ni deux, les technocrates européens ont pris la mesure du problème, et ont réagi fermement, pour se faire aimer… Voici donc la politique que le Conseil Européen nous demande d’appliquer – du pur génie, le souffle politique nouveau que nous attendions pour ressouder nos sociétés, que je commente rapidement… RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme de la France pour 2013 et portant avis du Conseil sur le programme de stabilité de la France pour la période 2012-2017 LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE, vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et notamment son article 121, paragraphe 2, et son article 148, paragraphe 4, RECOMMANDE que la France s’attache,...
Les journalistes Valentine Oberti et Wandrille Lanos ont obtenu le témoignage d’Hervé Falciani, l’ex-informaticien de la banque HSBC Genève qui avait quitté l’établissement en 2008, emportant avec lui la liste des clients. Trois disques durs remplis de noms, d’adresses et de numéros de comptes révélant l’identité de tous ceux qui fraudent le fisc en cachant leurs avoirs en Suisse. Menacé de mort et placé sous la protection de la police, l’homme livre sa vérité sur l’évasion fiscale. Accusé de vol de données par la justice suisse, il avait choisi de partager la liste avec les services fiscaux de Bercy. Mais certains acteurs du dossier accusent le gouvernement français d’avoir fait entrave au bon déroulement de l’enquête. « Cash investigation » revient aussi sur les manœuvres d’ »optimisation fiscale » de certaines grandes entreprises implantées en France. Posté par : Replays360 11-06-2013