Publié le : 10 avril 2018 Source : bvoltaire.fr Que lit-on, ces jours-ci, dans Marianne ? Qu’Emmanuel Macron ne réitérera pas l’erreur de son prédécesseur. Que concernant la PMA – les États généraux de la bioéthique ont été ouverts en janvier -, il « n’humiliera » personne, pour reprendre le mot que, candidat, il avait utilisé pour désigner le traitement infligé aux opposants du mariage gay. En effet, « théorise-t-on dans son entourage », « il est très important » pour le chef de l’État que « même les associations catholiques les plus atroces (sic) puissent s’exprimer, car les gens accepteront mieux la décision s’ils se sentent écoutés ». C’est gentil tout plein, ça. Et le Larousse confirme… « Atroce : extrêmement pénible à supporter (une souffrance atroce) » ou bien encore « Qui révolte par sa cruauté (un crime atroce) » ou, enfin, dans le registre « familier », « très désagréable par sa laideur, son mauvais goût, etc. (elle portait une robe atroce) ». C’est...
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