Posté par : News360x 16-10-2012
- Accueil
- Tous mes articles
- Trombinoscope
- Bibliothèque
- La Plume parcourt le Net
- Vidéos
- En savoir plus sur La Plume
- Je soutiens La Plume à Gratter !
Publié le : 08 octobre 2012 Source : comite-valmy.org La guerre de Syrie s’éternise. Sa poursuite est devenue trop coûteuse et trop dangereuse pour ses voisins. La Russie, qui ambitionne de se réinstaller au Proche-Orient, tente de démontrer aux Etats-Unis que leur intérêt bien compris est de la laisser résoudre le conflit. Là où l’OTAN a échoué à faire la guerre, l’OTSC prépare la paix. Le secrétaire général de l’Organisation, Nikolay Bordyuzha, met sur place une force de maintien de la paix de 50 000 hommes, capable de se déployer en Syrie . La situation militaire en Syrie s’est retournée au détriment de ceux qui espéraient à Washington et à Bruxelles parvenir à changer le régime par la force. Les deux tentatives successives de prise de Damas ont échoué et il est désormais clair que cet objectif ne pourra pas être atteint. Le 18 juillet, une explosion décapitait le...
Publié par : 08 octobre 2012 Source : michelcollon.info Depuis le coup d’Etat de 1954 jusqu à la lutte contre le narcotraffic en passant par la mainmise des multinationales, Luis Solano brosse pour nous près de soixante ans d’ingérence US au Guatemala. L’économie du Guatemala est actuellement et historiquement entièrement orientée vers la satisfaction du marché extérieur (mines, barrages, call center, agro exportation, tourisme, pétrole, maquilas…). Comment expliques tu cela ?.. Depuis le gouvernement d’Álvaro Arzú, (1996-1999), on a assisté à un tournant dans les investissements privés nationaux et étrangers au profit des secteurs économiques liés aux industries extractives, à la production d’électricité, à l’agro-export et aux services. Ce tournant a eu lieu après la signature des Accords de Paix de 1996, accords qui ouvrent une porte à la stabilité politique pour les investisseurs. C’est une des principales explications à la question de savoir pourquoi il était si important d’en...
Publié le : Source : voltairenet.org Dans la troisième et dernière partie de son étude, Peter Dale Scott montre que plusieurs administrations ont participé à la préparation de la version officielle du 11-Septembre, soit en fabriquant des indices, soit en retenant des renseignements. Ce faisant, l’ancien diplomate canadien met en évidence l’action d’institutions états-uniennes profondes, inconnues du grand public. Richard Blee avait-il un objectif inconnu pour retenir les renseignements ? Kevin Fenton avance la possibilité que l’un des individus cherchant un prétexte pour intensifier la guerre contre al-Qaïda aurait pu être Richard Blee. Nous avons vu que ce dernier, accompagné de Cofer Black, négocia avec l’Ouzbékistan un accord de liaison visant à établir un échange de renseignements. En 2000, le SOCOM commença à s’impliquer dans cette région, et « les forces spéciales US initièrent une collaboration plus visible avec l’armée ouzbèke, dans le cadre de missions d’entraînement. » Comme nous l’avons constaté,...
Publié le : 07 octobre 2012 Source : comite-valmy.org Le sénateur républicain Lindsey Graham se joint au chœur des décideurs politiques qui s’insurgent contre l’idée que l’Iran puisse avoir les moyens de dissuader les États-Unis de l’attaquer. Dans le Washington Post d’aujourd’hui, Richard Cohen exprime sa surprise que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad « se mette à dire des choses sensées » et « devienne rationnel ». Cohen cite cette déclaration que le président iranien a faite la semaine dernière : « Imaginons même que nous ayons une bombe atomique, une arme nucléaire. Que ferions-nous avec ? Quelle personne sensée attaquerait les 5 000 bombes étasuniennes avec une seule bombe ? » Cohen est surpris et pourtant de nombreux leaders iraniens, dont Ahmadinejad, ont déjà dit la même chose. Et c’est d’une telle évidence que ça ne devrait même pas avoir besoin d’être dit. Aucune personne sensée ne prend au sérieux l’affirmation que si l’Iran parvenait à obtenir...
Publié le : 01 octobre 2012 Source : silviacattori.net Notre confrère Giorgio S. Frankel était un journaliste d’une rare honnêteté. Il a inlassablement dénoncé la politique criminelle poursuivie par l’État d’Israël sur une terre volée aux Palestiniens. Très peinée par sa disparition, le 20 septembre 2012, nous tenons à lui rendre hommage en republiant le long et fascinant entretien qu’il nous avait accordé en mai 2011 alors qu’il était très atteint par la maladie. Il nous avait parlé de la complicité lâche des journalistes alignés sur Israël qui mentent et couvrent les crimes les plus odieux. Nous gardons un souvenir émouvant de cet homme élégant dont le regard bleu intense et bon continue de nous habiter. – Silvia Cattori Israël ne cédera jamais les territoires occupés (Entretien avec Giorgio S. Frankel publié en Italie le 25.05.2011) Les dirigeants israéliens affirment être « prêts à faire la paix » avec les Palestiniens....