Publié le : 16 août 2015 Source : lautreafrique.info Petit commerçant Après avoir refusé de les vendre au pays qui les lui avait commandé, Hollande n’a rien trouvé de mieux, au « hasard » de son invitation en Egypte, que de proposer au maréchal Al Sissi et accessoirement à l’Arabie Saoudite, comme outils de pacification, les deux bateaux de guerre qu’il a donc désormais sur les bras. E effet, invité d’honneur à l’occasion de la rénovation-extension du canal de Suez, non content d’essayer de placer ses « invendus, François Hollande s’est également transformé en représentant de commerce pour les entreprises françaises, celles liées directement au complexe militaro-industriel français comme Dassault, Safran, Thalès…sans oublier, évidemment, DCNS.(1) On le sait, l’Egypte, depuis le ralliement spectaculaire de l’Administration Sadate aux intérêts américains, a toujours été considérée comme le pion indispensable sur l’échiquier occidental de la « stabilité » dans une région particulièrement sensible. Les miettes tombées de...
Lire la suite