Publié le : 04 février 2015 Source : comite-valmy.org C’était inévitable. Je veux bien entendu parler de la réaction enthousiaste de la « gauche radicale » française le soir de l’élection grecque. Dans la maison Mélenchon, la consigne – martelée par son entourage – était simple : « je suis Tsipras » (ou plutôt, avec l’exquise modestie qui caractérise le personnage, « Tsipras est « le Mélenchon grec »). Chez Pierre Laurent, le ton est comme d’habitude plus mou, mais le cœur y est : « la victoire de Syriza ouvre la voie au changement en Europe ». Chez « Ensemble », où le ridicule ne tue d’évidence pas – sans quoi ce groupuscule serait déjà plusieurs fois mort – on compare la victoire de Syriza à « la rupture fondamentale dans l’histoire connue de l’humanité s’est produite en Grèce . Pour la première fois, des êtres humains ont affirmé explicitement que les lois qui les gouvernent sont...
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