Publié le : 11 janvier 2016 Source : dedefensa.org Le président du Parlement Européen, l’Allemand Martin Schulz, est bien une sorte de missile de croisière à tête semi-nucléaire de Merkel et accessoirement de l’UE, visage de l’Allemagne démocratique-et-européenne ayant mis au pas la Grèce et s’apprêtant à faire de même avec la Pologne. Sa doctrine est toujours la même, avec une référence évidente à l’esprit : regime change. Le 3 juillet 2015, nous notions ses interventions à propos de la Grèce qui allait voter par référendum, vainement d’ailleurs, dans un sens insatisfaisant pour le duumvirat Merkel-UE : « Dans une interview au quotidien économique allemand Handelsblatt, Schulz espère 1) la victoire du “oui” en Grèce, ce qui n’est pas trop méchant dans le climat ambiant, 2) la démission immédiate du gouvernement Tsipras, ce qui est plus précis mais pas exceptionnel, 3) son remplacement immédiat par un gouvernement de technocrates. Ce point (3)...
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