Posté par : BernardLugan 30-10-2012
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Note de La Plume à Gratter : invité de la chaine de télévision Public Sénat, l’ancien ministre Gérard Longuet a réagit, durant le générique de fin d’émission, à une question « off » d’une journaliste sur sur la demande du ministre algérien des Anciens combattants pour «une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français» en faisant un bras d’honneur on ne peut plus explicite (voir vidéo ci-dessous). Les réactions scandalisées ne ne sont évidemment pas faites attendre. Pour leur répondre, le professeur d’histoire contemporaine Daniel Lefeuvre a publié sur Boulevard Voltaire le texte qui suit : Publié le : 02 novembre 2012 Source : bvoltaire.fr Quelle honte ! Tu l’as bien cherché Longuet, ce seau de déjections qui tombe sur ta tête. Quoi ! Un bras d’honneur pour toute réponse à cette légitime revendication de repentance, exigée de la France par le ministre algérien des moudjahidin...
Publié le : 17 octobre 2012 Source : bernardlugan.blogspot.fr En reconnaissant la responsabilité de l’Etat et en rendant hommage aux « victimes » de la manifestation interdite du 17 octobre 1961, François Hollande s’est comporté en militant sectaire, non en président de tous les Français. D’autant plus que, pour les historiens de métier, les prétendus « massacres » du 17 octobre 1961 constituent un tel exemple de manipulation qu’ils sont étudiés comme un cas exemplaire de fabrication d’un mythe ; comme Timisoara en Roumanie, comme les « couveuses » au Koweit ou encore comme les « armes de destruction massive » en Irak !!! Tout repose en effet sur des chiffres gonflés ou manipulés et sur des cadavres inventés. Dans une inflation du nombre des morts, les amis du FLN algérien et les porteurs de valises communistes ont ainsi joué sur les dates, additionnant aux 3 morts avérés du 17 octobre ceux des jours précédents ainsi que les décès...
Publié le : 19 septembre 2012 Source : dominiquevenner.fr Nous sommes dans une période moins stagnante qu’il n’y paraît. C’est ce que révèle le torpillage soudain de l’exposition Albert Camus et la réaction vigoureuse du philosophe Michel Onfray, mis en cause dans Le Monde des 15 et 18 septembre 2012. Auteur de nombreux essais rédigés d’une plume élégante et polémique, Michel Onfray s’est fait connaître d’un large public. Ce qui intéresse chez lui, ce sont des changements de perspectives dont atteste par exemple son livre récent sur Freud, Le crépuscule d’une idole (Grasset, 2010), un pavé de 600 pages asséné sur le crâne d’une des plus intouchables divinités de l’époque. Onfray y décrivait sa propre évolution. Petit Normand pauvre, père ouvrier, mère faisant des ménages, « pas de vacances, jamais de sorties, aucun cinéma, ni théâtre ni concert bien sûr, pas de musées, pas de restaurants, pas de salle de...