
1ère partie : l’Europe et le résultat des élections _____ 2ème partie : l’Ukraine et la géopolitique Posté par : les-crises 29-05-2014
Publié le : 04 juin 2014 Source : voltairenet.org En 70 ans, le mythe de la libération de l’Europe par les Anglo-Saxons s’est imposé. Pourtant, rappelle le professeur Annie Lacroix-Riz, le projet de Washington et de Londres n’était pas prioritairement de lutter contre le nazisme, mais contre le communisme. Ce ne sont pas les troupes états-uniennes qui ont vaincu le Reich, mais avant tout les Soviétiques. _____ Le triomphe du mythe de la libération états-unienne de l’Europe En juin 2004, lors du 60e anniversaire (et premier décennal célébré au XXIe siècle) du « débarquement allié » en Normandie, à la question « Quelle est, selon vous, la nation qui a le plus contribué à la défaite de l’Allemagne » l’Ifop afficha une réponse strictement inverse de celle collectée en mai 1945 : soit respectivement pour les États-Unis, 58 % (2004) et 20 % (1945), et pour l’URSS, 20 et 57 % . Du printemps à l’été 2004 avait...
Yannick Jaffré, professeur agrégé de philosophie, est l’auteur du livre Vladimir Bonaparte Poutine, publié aux éditions Perspectives libres et disponible sur Kontre Kulture. Dans cet entretien, il explique le parallèle qu’il est possible d’établir entre l’actuel président russe et le consul Bonaparte, tant sur le plan des circonstances historiques de leur arrivée au pouvoir que de la politique de redressement et d’union nationale qu’ils ont chacun mise en place. Posté par : KontreKulture 26-05-2014
publié le : 24 mai 2014 Source : hommenouveau.fr Dans La Croix du 14 mai, à propos du film consacré aux Cristeros, Claire Lesegrétain écrit : « Forçant le trait sur la brutalité des soldats de l’armée fédérale, ce film oublie l’interdit évangélique de toute forme de violence, y compris pour défendre le Christ. De ce fait, ce Cristeros tient davantage du western que du film d’inspiration chrétienne ». Trois contre-vérités (historique, théologique et spirituelle) en trois lignes seulement. Dans le seul quotidien soutenu par l’épiscopat français. Chapeau ! 1 – Le film de Dean Wright minimise sensiblement la violence des Fédéraux On n’y voit pas les drapeaux noirs aux tibias entrecroisés de l’armée fédérale. On n’y entend pas la sinistre sonnerie mexicaine du deguëllo, popularisée par le cinéma dans Fort Alamo (pas de quartier), ni ce cri de guerre qui se passe de traduction : Viva el Demonio ! Je n’ai pas vu non...