Posté par : thejuicemedia 24-04-2014
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Publié le : 27 février 2014 Source : lepoint.fr Note de La Plume à Gratter : pour les lecteurs qui ne l’auraient pas compris (il y en a eu), la publication de cet article de BHL dans La Plume parcourt le Net était bien entendu un poisson d’avril ! De très mauvais goût, j’en conviens piteusement… _____ Voici donc un pays, la Russie, où la chasse aux gays et au faciès nord-caucasien devient un sport national. Voici un pays où, le 20 avril, jour anniversaire de la naissance d’Adolf Hitler, les « non-Slaves » sont invités à rester chez eux de peur de prendre un mauvais coup. Voici un pays où, quand un millier de jeunes descendent dans la rue pour protester, en 2006, contre le fait qu’on ait songé, à la Douma, à interdire les associations juives suspectes d’avoir « pactisé avec le diable », ils le font le visage masqué de...
Réaction à l’une des chansons les plus stupides de l’année. et pourtant la compétition est rude. ou Yannick Noah (ex people préféré des Français) annone des platitudes affligeantes à propos du FN, dont on pense ce que l’on veut, mais qui ne patira certainement pas de cette chansonnette grotesque aux textes inconsistants. pour peu que la cause soit juste, faut-il encore en charger des artistes ayant un tant soit peu de talent et d’intelligence rhéorique. décryptage de son pauvre texte qui donne envie de voter Fn juste pour apprendre a Yannick à se taire plutôt que de si mal défendre sa cause politique. d’autant plus qu’a 2 semaines des municipales, la ficelle est aussi grosse qu’elle est mal ficelée. prenez un parolier, que diable! car votre effort poussif sera surement contre-productif. Posté par : Komrad BBK 07-03-2014
Publié le : 28 janvier 2014 Source : polemia.com « Tel père, tel fils », une belle devise pour Guy et Nicolas Bedos. Leur programme commun pour avoir leur place au banquet du PAF, c’est simple comme bonjour : se mettre servilement du côté du plus fort, taper sur le plus fragile tout en clamant que l’on est du côté du faible et de l’opprimé. Ça a marché pour le père, ça marche aussi pour le fils. Flash-back sur un parcours exemplaire Souvenez-vous de Guy le Vieux. Les années 1960/70 : un comique ordinaire, un pied encore dans le comique troupier, un pied dans la satire. Mr Guy ne fait pas dans la dentelle et joue avec application sur les grosses ficelles et les clichés de l’époque : l’homo efféminé, le pied-noir lourdingue, l’arabe exotique, la Marie-Chantal, le dragueur de bas étage, le macho primaire… Du bon, du gros, du lourd, du vu et...
Publié le : 19 janvier 2014 Source : bvoltaire.fr Né en 1958, j’avais donc dix ans quand les guignols trotsko-mao confondirent la prise du palais d’Hiver avec la mise à sac de la rue Gay Lussac et de fait, je soufflais mes vingt bougies, trois ans avant que cette même rue Gay-Lussac voit la remontée triomphale de l’homme à la rose… direction le Panthéon. Je fus donc un ado des années 70. C’est chouette l’adolescence, on se prend pour un cador même si on n’est qu’une cassette vierge sur laquelle tout un tas d’influences viennent marquer votre imaginaire et de là forger votre personnalité. Alors voilà… pendant dix ans et grâce entre autres à mes chers profs , j’ai appris méthodiquement à caguer sur (en vrac) la Patrie, les anciens combattants, l’Église, la famille, les poulets, les vieux, l’armée, la pudeur, l’honneur, les patrons. Enfin, bref, sur tout ce...