Posté par : RFI 04-03-2014
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Publié le : 24 octobre 2013 Source : bvoltaire.fr Le président de l’UMP tente le tout pour le tout. En remettant – légèrement – en cause le droit du sol, il répond au – petit – raidissement de Fillon. Ne les appelez surtout pas opportunistes. Ce serait cruel, et en plus, c’est tellement évident ! Les « ténors » de la droite se sont en effet lancés dans une course-poursuite presque désespérée après le FN. Le châtelain sourcilleux veut-il voter « pour le moins sectaire » ? Qu’à cela ne tienne, Copé-collé va s’attaquer au droit du sol. Histoire de donner quelques frissons de plaisir au duo comique de la Moite forte, Peltier-Didier. L’UMP n’a rien fait en dix ans de pouvoir pour freiner l’immigration massive ? Maintenant qu’ils sont dans l’opposition, tenez-vous bien, ils vont montrer ce qu’ils savent faire ! Bon, que les belles âmes « républicaines » ne s’affolent pas trop quand même : ce ne sera qu’une petite égratignure...
Publié le : 13 octobre 2013 Source : bvoltaire.fr Le système a trouvé sa star du moment. Bien joué, France 2, bien joué, David Pujadas. Dans l’émission de jeudi « Des paroles et des actes », Jean-François Copé était l’invité du jour. Soirée sans grand intérêt, comme prévu, durant laquelle le putschiste du pauvre a évidemment martelé que Hollande est nul et que, lui au pouvoir, ça irait beaucoup mieux. Hyper crédible pour un apparatchik dont le parti a régné dix années d’affilée en ruinant le pays comme jamais. Et soudain, la seule étincelle du programme. Celle qui fait le buzz depuis deux jours. Le tournant du scénario, le micro-clash annoncé. Isabelle Maurer apparaît à l’écran. Au bout de deux secondes, Copé a compris le traquenard ! En face de lui, c’est un moulin à paroles. Une sorte de mère Denis de l’an 2013. Avec l’accent, elle parle franco, mais ne balance...
Publié le : 14 mai 2013 Source : bvoltaire.fr Souvenez-vous, c’était le 27 mars devant le bureau politique de l’UMP. Son président Jean-François Copé rappelait qu’il ne « donnerait pas de consigne », que « la liberté était tout à leur honneur » et qu’il était « important que chacun puisse exprimer sa position sur le sujet ». Il s’agissait du vote de la loi par les sénateurs sur le mariage pour tous. Bien sûr, à l’UMP, aucun sénateur, aucun député ne serait sanctionné pour avoir aidé le gouvernement à faire passer le mariage gay. Pensez-vous, à l’UMP, on ne mange pas de ce pain-là. Jean-François Copé est bien trop épris de démocratie, de liberté (sur mes cahiers d’écolier, j’écris ton nom) et tutti quanti. Seulement voilà, les postures de poète façon Paul Éluard, c’est sympa, mais c’est comme tout, ça a ses limites. Et Jean-François Copé, il faut bien le dire, ne fait pas...
Les français oublient vite, très vite. C'est sans doute un de leurs plus gros défauts. Il avait ainsi suffit d'à peine un peu plus d'un an, après l'élection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, pour que nos compatriotes -dans un de ces fameux sondages d'opinion dont sont tant friands nos chers médias- fassent de Jacques Chirac à une écrasante majorité...
Publié le : 11 décembre 2012 Source : causeur.fr Faux conflits, vraies fractures Lors de l’élection présidentielle puis pendant la double campagne interne à l’UMP (pour la présidence et l’organisation du parti en courants), un terme est revenu sous la plume des commentateurs, celui de « discours clivant ». Une expression régulièrement invoquée pour dénigrer, car le discours clivant serait politiquement irresponsable et peu à même de proposer des éléments de réponse aux maux dont nous souffrons. Il jetterait au contraire de l’huile sur le feu de nos conflits sociaux, rendant impossible toute « réconciliation » entre les forces en présence. En stigmatisant par exemple telle ou telle catégorie d’une population dont les différences ne font qu’enrichir la France, il séparerait artificiellement des communautés qui ne demandent qu’à vivre en paix. Bref, que l’on se place au niveau politique ou social, le discours clivant serait à l’opposé des règles...
Publié le : 23 novembre 2012 Source : polemia.com La primaire socialiste a conduit à désigner François Hollande pour la candidature à la présidence de la République et finalement, par une succession de malheureux rebondissements, à son élection. Les élections à l’UMP ont conduit à ne pas désigner clairement un président et à un processus tragi-comique d’implosion chaotique. Le choc des nuls Le duel du méchant Copé et du gentil Fillon ne relevait pas du choc des Titans. Ce n’était qu’un duel de politiciens sur le dos des militants et des sympathisants, de même nature que celui auquel se livre la droite vis-à-vis de ses électeurs depuis 20 ans. Le gentil Fillon s’en tenait à la ligne politique de G. d’Estaing : la droite doit gagner au centre, et si possible en mordant sur la gauche, stratégie suicidaire de ceux qui n’ont rien appris ni rien oublié depuis 1981,...
« Quand c’est fini, n-i ni-ni, ça recommence… ». Léo Ferré aurait pu le chanter, l’UMP nous l’impose depuis plusieurs jours. Le tragi-comique sitcom de l’ex-écurie sarkozienne n’en finit plus d’occuper la une de nos journaux, de monopoliser les rédactions de nos télévisions et radios. Plus rien ne se passe dans le monde que cette farce grotesque où deux nains politiques ...