Articles liés pour ‘ Jeannette Bougrab ’

Quatre mois après, le public découvre les turpitudes de Charlie – Par Kader Hamiche

La Plume parcourt le Net
Le 26 mai 20151
charlie

Publié le : 17 mai 2015 Source : kader-hamiche.fr Deux femmes sont dans l’actualité de Charlie Hebdo. La première, Zineb El Rhazou, est une sociologue et journaliste engagée et en danger à un point tel qu’elle est protégée par six gardes du corps ; la seconde, Jeannette Bougrab, est une des ces créatures du système de promotion à la française des « minorités visibles ». Ces deux femmes ont un point commun : toutes deux sont liées à Charlie Hebdo. La différence est que la première, féministe berbère franco-marocaine, membre de la rédaction du journal, l’est par la plume ; l’autre, sélectionnée par le système pour ses origines et qui, à ce titre, collectionne les emplois fictifs et les promotions sans mérite, se rattache à Charlie par la queue, pas la sienne, celle de l’ancien directeur du journal, dont elle continue de prétendre qu’elle était la « compagne ». Les deux sont dans l’actualité immédiate : la première,...

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Cette France américaine qui se renie et nous détruit – Par Karine Bechet-Golovko

La Plume parcourt le Net
Le 6 mai 20150
Quand franc-maçonnerie et Young leaders de l'AFF se retrouvent pour trahir la France et son peuple...

Publié le : 30 avril 2015 Source : russiepolitics.blogspot.ru Président de la République et ministres de droite ou de gauche issus des programmes franco-américains, franc-maçonnerie dans les rang de l’Assemblée et du Gouvernement qui défend « sa » conception républicaine, d’autant plus fortement que la « mondialisation républicaine » se trouve, par hasard et par accident ralentie … On se croirait dans un mauvais film d’espionnage. L’on est simplement dans la France moderne et contemporaine. Cette France qui n’est plus française, qui en a même semble-t-il honte, comme d’un parent pauvre que l’on veut cacher. Et l’on comprend beaucoup mieux pourquoi la politique menée par les élites, de droite comme de gauche, ne défend pas les intérêts de notre pays. Comme le processus de destruction de ce qui reste de l’identité française allait bien, la construction européenne aidant, l’on n’entendait pas trop les membres de la franc-maçonnerie française, il n’était pas nécessaire de...

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Quand Elkabbach traîne les Harkis dans la boue… Par Kader Hamiche

La Plume parcourt le Net
Le 6 mars 20132
Quand Elkabbach traîne les Harkis dans la boue...

Publié le : Source : bvoltaire.fr Le 15 février dernier sur Public Sénat, recevant Jeannette Bougrab, Jean-Pierre Elkabbach, ancien président de France Télévisions, l’homme des « patates » généreusement dispensées naguère à ses protégés Delarue, Arthur et autres Nagui, cumulard d’Europe 1 et de Public Sénat (mélange des genres), est au top de sa forme. Il aborde Jeannette Bougrab avec, d’abord, deux questions anodines. La belle, toute guillerette, ne quitte pas son sourire niais de ravie de la crèche. Elle glousse comme une dinde de Noël qui ignore son destin. Lequel, c’est sa vocation, vient, sous forme d’une affirmation-question ravageuse comme un Scud. Elkabbach : «  ont été scandaleusement traités en Algérie mais il y avait quand même quelques raisons. On leur a fait faire de sinistres besognes. Et ils les ont faites ! » Jeannette, indignée : « Comment osez-vous dire une telle chose ? » Elkabbach, sans se démonter : « Ils n’ont pas participé...

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Jeannette Bougrab, les colères d’une Berrichonne

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Le 5 février 20130
Jeannette Bougrab voyage en Sarkozie

Publié le : 05 février 2013 Source : marianne.net Intégration, laïcité, révolutions arabes…, l’ex-ministre de la Jeunesse s’inquiète du naufrage de «sa République». Et raconte son douloureux passage en Sarkozye. Le livre personnel et émouvant de Jeannette Bougrab relève d’une attitude devenue rarissime : la reconnaissance de dette. Dette envers la France et son école qui ont permis à cette fille d’ouvrier harki de Châteauroux de devenir docteur en droit, conseillère d’Etat et ministre. Dette envers ses parents illettrés mais imprégnés de «l’esprit des Lumières», ayant rompu avec «les rituels religieux» et poussé leur fille à apprendre à l’école, à aimer la France : «Ils voulaient que ma sœur et moi soyons autonomes et que nous ne soyons surtout jamais dépendantes d’un mari qui, dans leur esprit, ne pouvait être que maltraitant. Ils connaissaient trop bien, pour l’avoir vécu, le sort réservé aux jeunes filles arabes mariées.» Mais le...

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