Posté par : iamdieudo 31-01-2014
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Publié le : 28 janvier 2014 Source : polemia.com « Tel père, tel fils », une belle devise pour Guy et Nicolas Bedos. Leur programme commun pour avoir leur place au banquet du PAF, c’est simple comme bonjour : se mettre servilement du côté du plus fort, taper sur le plus fragile tout en clamant que l’on est du côté du faible et de l’opprimé. Ça a marché pour le père, ça marche aussi pour le fils. Flash-back sur un parcours exemplaire Souvenez-vous de Guy le Vieux. Les années 1960/70 : un comique ordinaire, un pied encore dans le comique troupier, un pied dans la satire. Mr Guy ne fait pas dans la dentelle et joue avec application sur les grosses ficelles et les clichés de l’époque : l’homo efféminé, le pied-noir lourdingue, l’arabe exotique, la Marie-Chantal, le dragueur de bas étage, le macho primaire… Du bon, du gros, du lourd, du vu et...
Publié le : 26 janvier 2014 Source : bvoltaire.fr À cette manif un peu foutraque, pas de « tenue correcte », ni de carton d’invitation exigé à l’entrée. On y vient dans son jus, comme on est. Dimanche, de la Bastille aux Invalides, c’était Jour de colère. Alors ils sont tous venus, la carpe et le lapin, de Sarcelles à Versailles, avec leur colère en bandoulière, sous une pluie assortie à leur humeur. 17.000 selon la police, 160.000 selon les organisateurs. Des organisateurs que personne ne connaît. Car aucun parti politique, aucun mouvement d’envergure, ni bonnets rouges ni LMPT, n’a appelé à manifester. Le succès n’en est que plus inattendu, déconcertant, inquiétant… À cette manif un peu foutraque, pas de « tenue correcte », ni de carton d’invitation exigé à l’entrée. On y vient dans son jus, comme on est, avec la pancarte qu’on s’est bricolée sur un coin de table. Suffit d’être...
Publié le : 26 janvier 2014 Source : corto74.blogspot.fr Parce que les 8 secondes qu’y a consacré Claire Chazal n’ont pas su combler votre envie de savoir, je vais vous raconter Jour De Colère. Moi, j’y étais; pas cette autiste servile de Chazal. Je suis arrivé à Bastille vers onze heure trente; autant vous dire qu’il n’y avait pas grand monde, peut-être une cinquantaine de personnes agglutinés au pied d’une colonne de baffles diffusant une musique indéfinissable. Rien qui n’augure d’un succès populaire. Je suis allé déjeuner avec quelques blogueurs dans un restaurant qui a le mérite d’avoir une salle à l’étage: de là, on voit Bastille s’animer. Entre apéritif et café, les gens ont commencé à poindre le bout de leur nez. Les pancartes et banderoles fleurissaient petit à petit; les CRS aussi. A 13h37, Boutfil, Vlad, Io, La Plume, Orfeenix, Le Plouc et la Mouette sortions repus...
Publié le : 19 janvier 2014 Source : bvoltaire.fr Né en 1958, j’avais donc dix ans quand les guignols trotsko-mao confondirent la prise du palais d’Hiver avec la mise à sac de la rue Gay Lussac et de fait, je soufflais mes vingt bougies, trois ans avant que cette même rue Gay-Lussac voit la remontée triomphale de l’homme à la rose… direction le Panthéon. Je fus donc un ado des années 70. C’est chouette l’adolescence, on se prend pour un cador même si on n’est qu’une cassette vierge sur laquelle tout un tas d’influences viennent marquer votre imaginaire et de là forger votre personnalité. Alors voilà… pendant dix ans et grâce entre autres à mes chers profs , j’ai appris méthodiquement à caguer sur (en vrac) la Patrie, les anciens combattants, l’Église, la famille, les poulets, les vieux, l’armée, la pudeur, l’honneur, les patrons. Enfin, bref, sur tout ce...