Posté par : MrQuelquesMinutes 28-09-2011
- Accueil
- Tous mes articles
- Trombinoscope
- Bibliothèque
- La Plume parcourt le Net
- Vidéos
- En savoir plus sur La Plume
- Je soutiens La Plume à Gratter !
Invités : • Nicolas Dupont-Aignan, député NI de l’Essonne • Dominique Seux, journaliste économique aux Échos • Michel Rocard, ancien Premier ministre • Jacques Sapir, économiste et directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales Pas de répit pour les députés : à peine votée la loi sur le mariage pour tous, l’Assemblée se penche depuis hier sur un autre sujet sensible : la réforme bancaire. Avec ce texte, le gouvernement entend notamment séparer les activités spéculatives des banques, de leurs activités utiles à l’économie, aux entreprises et aux ménages. Objectif : réguler la finance, et éviter une nouvelle crise financière. En janvier 2012, lors du fameux discours du Bourget, le candidat Hollande s’était engagé à séparer les activités de dépôt et d’investissement des banques, à encadrer les bonus et à mettre fin aux stock-options. Aujourd’hui, le texte semble bien loin des promesses de campagne : pas d’interdiction stricte de cumuler activités...
Publié le : 01 février 2013 Source : bvoltaire.fr Le 21 septembre 2007, lorsque François Fillon martèle : « Je suis à la tête d’un État qui est en situation de faillite sur le plan financier », c’est la stupéfaction générale. Mais une stupéfaction ambigüe : quel membre de la phrase avait véritablement surpris les Français ? Qu’il y eût une situation de faillite ou que François Fillon crût diriger réellement l’État ? Avec la récente déclaration de Michel Sapin, c’est apparemment plus clair. Celui-ci a affirmé, le 27 janvier dernier, que Fillon auto-proclamé Père la rigueur avait laissé à son départ « un État totalement en faillite », suscitant l’embarras du gouvernement actuel. Et comme de coutume, c’est Moscovici, expert inégalé en langue de bois et autres périphrases, qui s’est chargé d’expliquer ce que son collègue Sapin avait voulu dire, sans l’assumer totalement, mais en le disant un peu tout de même, qu’on était dans une...