Posté par : Institut Iliade 22-03-2017
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Publié le : 06 mai 2015 Source : politiquemagazine.fr Politique magazine l’avait écrit dès sa parution : parce qu’il permet de comprendre comment la France en est arrivée à se renier elle-même, Le Suicide français d’Eric Zemmour est un livre capital. Pour l’écrivain, c’est par la culture que notre société a été contaminée par l’idéologie qui détruit notre pays. C’est par la culture qu’il faut la reconquérir. Pourquoi choisir un titre aussi provoquant que « Le suicide français » ? L’aspect éditorial a bien sûr compté, mais le but était avant tout de frapper un grand coup, dès la couverture, pour alerter sur l’imminence de la catastrophe : la disparition pure et simple du peuple français et de sa civilisation tels qu’ils existent depuis des siècles. On peut toujours ergoter pour savoir s’il s’agit d’un suicide, d’un meurtre ou que sais-je encore… Il n’empêche que nous sommes collectivement fascinés...
Attention, cette émission est un poisson volant du « PAF » : pour la première fois – et la dernière – dans sa tournée des radios et télévisions pour la parution de son dernier livre « Le suicide Français » (Albin Michel, 2014) qui rencontre d’ailleurs un succès phénoménal, Eric Zemmour était accueilli sans haine, sans insultes et sans devoir faire face à des accusation d’antisémitisme (le ridicule ne tue pas) ou de fascisme plus ou moins rampant, j’en passe et des meilleures. Du coup il est parvenu à finir la quasi-totalité de ses phrases, à développer sa pensée, sa vision de l’évolution de la société française, sa tristesse devant son – inéluctable ? – déclin. Un grand moment de radio, de discussion courtoise et d’érudition historique, qui prouve une fois de plus que les « gens du camp du bien » et les « généreux défenseurs de la différence » sont les plus sectaires des censeurs, et les...
Publié le : 20 juillet 2014 Source : cerclearistote.com Comment se construisent nos convictions politiques ? Comment évoluent-elles au cours de nos vies ? Vingtenaire dans les années 1960, le juriste Sylvain Pérignon, explique comment Staline, le PCF, l’insurrection hongroise, la guerre d’Algérie, mai 68 et l’élection de Mitterrand, ont contribué à déciller les yeux de sa génération. Témoignage personnel sur un parcours emblématique. Qu’est ce qui détermine, à un moment donné de notre vie, notre attachement à un système de valeurs, notre adhésion à un courant de pensée politique, nos votes et nos engagements ? Est-ce le poids de notre passé, de notre éducation, de nos enracinements, qu’il s’agisse de les revendiquer ou de les rejeter ? Est-ce un effet de notre personnalité et de notre tempérament ? Est-ce le résultat d’une réflexion sur les grands textes qui veulent dévoiler le sens caché de l’histoire ou la simple soumission à ce que nous...
Publié le : 01 mai 2013 Source : french.ruvr.ru Cohn-Bendit, le Vert ou der Grüne selon la nationalité qu’on lui donne, a navigué durant plus de trente ans entre la France et l’Allemagne surfant sur la vague rebelle de l’homme libre à tous les niveaux et attaquant à souhait des personnalités. Cette fois, l’homme n’a plus la même aura auprès des masses. Ce qui reste du pourfendeur de l’ordre public est l’image d’un homme politique qui inspire le dégoût auprès des gens et des jeunes générations Aujourd’hui Daniel Cohn-Bendit ne peut plus sortir ni à Berlin, ni en Pologne sans être rappelé à son passé avec son livre le Grand Bazar. Le célèbre réalisateur polonais, Grzegors Braun, ayant tout récemment appris les dires et les allusions sexuelles de Daniel Cohn-Bendit envers les enfants a porté une plainte en Pologne pour pédophilie contre l’eurodéputé franco-allemand. A Berlin dans deux conférences,...
Publié le : 25 mars 2013 Source : christianvanneste.fr Le pouvoir politique et médiatique actuel est occupé par les trublions de Mai 68, et ceux qu’ils ont ensuite formés idéologiquement puisque dans le pays de la droite la plus bête du monde, celle-ci a abandonné l’éducation et la culture à la gauche. Le résultat, c’est le nombre des libertaires, maoïstes et autres trotskystes qui, devenus détenteurs de confortables pouvoirs, diffusent et imposent l’idéologie socialo-bobo, ce mélange de dynamitage de l’ordre des valeurs inscrites dans la Nation française au nom d’une supposée liberté sans rivage et de répression de la liberté au nom d’un prétendu ordre républicain. Le passage en force et à contre-temps de la loi sur le mariage homosexuel sous prétexte que le Président l’avait annoncée dans son programme appartient au dynamitage : les Français n’ont pas élu Hollande pour ses « 60 mesures » et sont d’ailleurs majoritairement hostiles...
Publié le :17 mars 2013 Source : polemia.com La génération cocon Les soixante-huitards ont grandi dans un cocon protecteur. Nés après 1945, ils n’ont pas connu la guerre, sinon au cinéma, à la différence de leurs parents, de leurs grands-parents et de leurs arrière-grands-parents. L’empire et l’Algérie ont été abandonnés et la génération 1968 se trouvait de toute façon trop jeune pour les guerres coloniales. Les soixante-huitards ont vécu dans un monde de croissance et de plein emploi. Dans les années 1960 les services publics fonctionnent très bien, le budget s’équilibre et l’Education nationale continue de promouvoir l’ascenseur social. Une famille nombreuse peut encore vivre sur un seul salaire. Les trains arrivent à l’heure et personne ne voyage sans billet. Les villes et les villages restent à taille humaine : il y a encore des commerces et des artisans et les jeunes ne couvrent pas les murs de graffitis. On...