Posté par : ARNAUD Gilles 06-10-2013
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Non, non, très chers lecteurs, La Plume ne fait pas en choisissant un tel titre pour ce nouvel article de l’ironie un peu facile. Cette phrase est bien à prendre au premier degré, et il faudra peut-être un jour, afin de permettre au peuple de France reconnaissant de l’honorer chaque année, élever une stèle (devant l’Arc de Triomphe par exemple ?) à la mémoire du Rom inconnu. Un tel monument sera en effet peut-être incontournable pour donner à nos compatriotes l’occasion de se souvenir avec une vraie émotion et une profonde reconnaissance, dans un pays enfin réveillé, resurgit de ses cendres libertaro-européo-mondialistes, de tout ce qu’ils doivent en fait à ces populations nomades venues d’Europe de l’est qui s’étaient répandues, durant les premières années du XXIème siècle, sur la presque totalité du territoire national. Comme il faudra peut-être aussi, et pour les mêmes raisons, instituer une nouvelle fête nationale, fériée...
Publié le : 06 septembre 2013 Source : bvoltaire.fr Deux règlements de comptes en moins de 24 heures, quinze décès depuis le début de l’année, Marseille est bien partie pour, si ce n’est le battre, au moins égaler son record des dernières années, totalisant dans la ville et sa région près de la moitié des homicides entre malfaiteurs commis dans toute la France ces dernières années, sur fond de trafics en tous genres. Qu’on flingue à tout va entre crapules n’est a priori pas le plus grand péril pesant sur la société française. Comme on dit : si ça gagne pas, ça débarrasse. Reste que, comme le soulèvent les commentateurs éberlués sur les plateaux de télévision, cette fièvre dézingueuse pose « de vraies questions », et notamment celle de la « banalisation de la violence » qui ne se répercute pas uniquement sur les petites frappes, loin s’en faut. De l’avis de tous, nous...
Publié le : 06 septembre 2013 Source : bvoltaire.fr Ah, Marseille ! Cette fois, l‘affaire vient d’être révélée par La Provence, mais elle date un peu. Les faits se sont déroulés dans l’hôpital Nord il y a trois semaines. Ce n’est pas la faute du canard s’il sert du réchauffé, mais celle des victimes qui, par peur des représailles, ont préféré se taire. Le professeur Thomas, éminent spécialiste de la greffe pulmonaire, témoigne : « Dans la nuit, un patient est sorti de sa chambre et a fait irruption dans les couloirs du service, un revolver à la main. Il interdisait à quiconque d’entrer ou de sortir de l’unité, menaçant de buter le premier qui désobéirait ou qui donnerait l’alerte. » Il avait été opéré d’une blessure par balle reçue dans un bar lors d’un règlement de comptes. « Il était convaincu que ses agresseurs le cherchaient partout dans l’hôpital pour l’exécuter. Alors...
Publié le : 30 août 2013 Source : bvoltaire.fr Grande première de la Cinquième République : un ministre déclare publiquement la guerre à deux artistes : Alain Soral et Dieudonné. Ainsi, au cours de son intervention universitaire de plage, Manuel Valls n’a pas hésité à nommer ces deux fauteurs de trouble par qui le malheur arrive ou devrait arriver d’une minute à l’autre. Que ces deux abominables aient disparu intégralement de tous les plateaux télé, studios radio et autres magazines ne lui suffit pas, il les veut bâillonnés, essorés, ruinés, embastillés et autres sévices à imaginer au cours de l’Université d’hiver que tiendra le PS dans une plaine de Sibérie à l’emplacement même de ces regrettés goulags qui nous manquent tant. La cause de ce courroux à l’encontre d’Alain Soral, Manuel Valls la précise dans son discours, car l’affaire est grave : sur Internet, le polémiste a calomnié Frédéric Haziza, journaliste sur...
Publié le : 27 juillet 2013 Source : bvoltaire.fr Il y en a qui portent des grillages devant les yeux et la bouche : cela s’appelle une burka et c’est interdit en France. Mais il y en a d’autres qui portent des grilles, comme les politiciens (Valls en particulier), qui déforment la réalité qu’ils voient et les mots qu’ils utilisent. Chez notre ministre de l’Intérieur, c’est pathétique : il y a la volonté affichée de parler vrai et de ne pas nier les évidences et, aussitôt après, la burka retombe sur le visage tandis que la langue de bois socialiste énonce ses préceptes habituels. Pas une fois le mot « émeutes », à propos de Trappes, dans la bouche du ministre, remplacé par le plus politiquement correct « violences urbaines ». Il n’y aurait eu que des « tensions ». Le calme serait revenu à la suite de la mise en place d’un dispositif exceptionnel. Les mots...