Publié le : 15 novembre 2013 Source : bvoltaire.fr Pourquoi s’apitoyer davantage sur le dépôt de bilan d’un volailler – mettant au tapis des centaines d’employés – que sur la fermeture de la manufacture de pianos Pleyel ? Même s’il ne s’agit du sort que de 14 employés « seulement » – les 14 derniers ! –, on se dit que les pianos qu’on perd là le sont à jamais, alors que les volailles, si elles ne sont plus élevées en Bretagne, le seront ailleurs… Et peut-être même en France ! Remarquons aussi que les pianos Pleyel avaient été rachetés voilà deux ans par « Développement et partenariat », le fonds d’investissement de l’homme d’affaires Didier Calmels, qui entend devenir par ailleurs – devinez quoi ? – l’actionnaire majoritaire de Doux, le producteur breton de volailles en difficulté ! « Pas d’amalgame », indique évidemment le siège de Doux. « Ici, le projet monté par M. Calmels, la famille Doux et...
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