Publié le : 07 février 2017 Source : zone-critique.blogspot.fr « C’est quand l’furoncle y pue, qu’y faut y presser l’jus »… disait-on autrefois dans certains coins de nos campagnes. A des époques plus rudes ou l’on ne s’embarrassait pas d’états d’âme pour traiter le mal. Mais les temps ont changé. Un tel pragmatisme aurait pourtant du bon aujourd’hui. Ne serait-ce que pour nous débarrasser de certaines disgracieuses boursouflures monarchiques héritées d’un régime dont on nous disait qu’il ne subsisterait que des dorures et des donjons. Tu parles… Ce « Pénélope gate », c’est incontestablement le furoncle de trop sur le cul de cette matrone obèse qu’est notre République. L’affaire vient à maturité à un moment crucial, et nous met clairement devant deux choix : soit on badigeonne le bouton de crème Nivéa et on attend le suivant, soit on vide cette saloperie de son contenu purulent jusqu’à la racine, et on s’épargne durablement...
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