Peut-on évoquer l’élite mondiale et son action sans être taxé de complotisme? C’est le pari de Michel Geoffroy, ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai «La super-classe mondiale contre les peuples». Entretien. Posté par : Sputnik France 24-04-2017
Et si le sacrifice d’Arnaud Beltrame marquait un tournant dans la lutte contre l’islamisme? Son geste a-t-il forcé une prise de conscience des politiques? En tout cas, pour le géopolitologue Alexandre Del Valle, Emmanuel Macron a le mérite d’avoir –enfin– ciblé l’ennemi. Un ennemi islamiste qu’il décrypte dans son dernier ouvrage. Entretien. Posté par : Sputnik 03-04-2018
Face à l’immigration, les Français semblent de plus en plus nombreux à croire à une substitution de population. Mais le « Grand remplacement » et son inventeur, l’écrivain Renaud Camus, sont voués aux gémonies. À tort ou à raison ? Le chroniqueur Edouard Chanot donne son avis. Posté par Radio Sputnik 29-01-2018
De l’enquête publique du Sénat américain sur la prétendue ingérence russe dans les élections présidentielles américaine et française aux échos antirusses en Europe. Mais que craignent réellement les élites occidentales ? Le rapprochement entre la Russie de Vladimir Poutine et les États-Unis de Donald Trump n’est-il pas une garantie pour la paix ? Invité : Pierre-Yves Rougeyron est juriste, spécialiste en intelligence économique, directeur de la revue Perspectives Libres, président du Cercle Aristote et auteur de l’ouvrage « Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 » chez Le Jardin des Livres. Posté par : Radio Sputnik 05-04-2017
Publié le : 16 février 2017 Source : levilainpetitcanard.be Des bataillons entiers de hackeurs russes attaquent le site d’Emmanuel Macron à partir de l’Ukraine. La démocratie est « menacée », et la main de ma soeur dans la culotte du zouave. Apparemment, ce serait devenu un must, une sorte de consécration à laquelle doit accéder tout candidat pour asseoir sa stature internationale, et son rôle de défenseur de la liberté, puisque chacun sait que les hackeurs russes Ukrainiens à la solde de Vladimir Poutine sont parmi ses pires ennemis. Accessoirement, c’est aussi très pratique pour détourner l’attention populaire de ses propres errements, comme ce fut le cas pour le DNC, la Convention Nationale Démocrate. Et si l’on devait malgré tout perdre quand même les élections, cela s’avère très pratique pour rejeter la responsabilité de son échec sur « les Russes ». Réchauffé ? Sans doute, mais n’est-ce pas dans les plus vieilles casseroles...
Le populisme est le phénomène politique de la décennie. De quoi est-il le fruit et de quoi sera-t-il la cause ? En d’autres termes, que faut-il en attendre ? Et plus encore, est-ce un bien ou un mal ? Le pire est-il à venir, ou nous dirigeons-nous vers un renouveau civilisationnel ? Pour lever nos interrogations, nous recevons Alain de Benoist, qui publie demain ‘Le moment populiste, Droite-gauche c’est fini’ (PG de Roux, 2017). Posté par : Radio Sputnik 25-01-2017
De quoi le terrorisme actuel est-il l’effet ? Peut-on le comprendre et le combattre sans en saisir les causes réelles ? Pour dépasser nos émotions premières, nous avons reçu Richard Labévière, Rédacteur en chef de la revue procheetmoyen-orient.ch, ancien rédacteur en chef de RFI, et auteur de l’ouvrage ‘Terrorisme face cachée de la mondialisation’ (Pierre Guillaume de Roux, 2016). Posté par : Radio Sputnik 06-12-2016
Sarkozy, Juppé, Hollande. Vivons-nous la fin d’une génération, d’une époque, d’un cycle ? Entretien avec Patrick Buisson, auteur de La cause du peuple (Perrin, 2016). Posté par : Radio Sputnik 05-12-2016
Publié le : 09 fevrier 2015 Source : fr.sputniknews.com Mal-en-point, le Royaume Saoudite essaye la tactique du chantage. Il demande à la Russie de renoncer à Assad en promettant en échange une hausse considérable du prix du baril. Moscou refuse en arguant, primo, l’incapacité de Riyad à fixer les prix sur le pétrole, secundo, le fait qu’il ne soit pas dans les habitudes d’une grande puissance de laisser tomber des alliés, surtout des alliés de très longue date. Entre-temps, écartelés entre leurs mésaventures ukrainiennes et leur perte de contrôle sur le Levant, les USA dédiabolisent (provisoirement?) le Président syrien en encourageant les opérations menées par la coalition anti-Daesh. On pourrait derechef se demander comment il se fait qu’une coalition si riche en hommes et en armements ne parvienne toujours pas à neutraliser une nébuleuse hétéroclite de salafistes dont la force réside plus dans leur fanatisme que dans leur capacité...
