Posté par : BFMTV 03-09-2013
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Publié le : 02 septembre 2013 Source : michelcollon.info L’article ci-dessous a été écrit pour un public américain et son but était de critiquer une pétition de « solidarité avec le peuple syrien » qui reflète toutes les ambiguïtés de la pensée de la gauche occidentale sur la question de la guerre et de l’impérialisme, ambiguïtés qui ont pour conséquence qu’aucune opposition systématique aux politiques américaines n’émane de la gauche, alors que ces politiques deviennent de plus en plus impopulaires au niveau de l’opinion publique, même en Europe. La droite dont je parle, libertarienne ou paléo-conservatrice, n’a pas vraiment d’équivalent en Europe : les libertariens défendent la liberté la plus plus absolue du marché, mais aussi les libertés individuelles et sont farouchement opposé au militarisme et aux politiques d’ingérence. Le site http://antiwar.com/ reflète bien leur point de vue. Les paléo-conservateurs sont socialement conservateurs et étaient très anti-communistes pendant la guerre...
Publié le : 03 septembre 2013 Source : Le Figaro, mis en ligne par comite-valmy.org Damas, 2 Sept. 2013 – Le président, Bachar al-Assad, a accordé une interview au journal français le Figaro, au cours de laquelle il a affirmé que la stabilité dans la région dépend de la situation en Syrie. - LE FIGARO : LES AMERICAINS ET LES FRANÇAIS VOUS ONT ACCUSE D’AVOIR DECLENCHE UNE ATTAQUE A L’ARME CHIMIQUE LE 21 AOUT DANS LA REGION DE GHOUTA CE QUI A FAIT DES CENTAINES DE MORTS. POUVEZ-VOUS NOUS FOURNIR UNE PREUVE QUE VOTRE ARMEE N’A PAS COMMIS CETTE ATTAQUE. Bachar al-Assad : premièrement, quiconque accuse doit donner la preuve. Nous les avons défiés d’avancer une seule preuve ; ils en ont été incapables. Nous les avons défiés de donner une seule preuve à leurs peuples. Puisque les politiques extérieures se décident au nom des peuples et de leurs intérêts. Mais, ils...
Publié le : 03 septembre 2013 Source : bvoltaire.fr Est-ce faire preuve d’esprit munichois que de s’opposer à l’intervention militaire dont notre président va-t-en-guerre menace le régime syrien ? C’est ce qu’a cru pouvoir affirmer un certain Harlem, nommé Désir, jadis fondateur et président de SOS Racisme, aujourd’hui premier secrétaire du PS et d’autant plus enclin à durcir le ton qu’il est plus contesté, de l’intérieur comme du dehors. « Munichois », c’est l’insulte éculée que les comiques de la scène française, lorsqu’à court d’arguments il ne leur reste plus que l’invective, jettent comme une tarte à la crème au visage de leurs adversaires. Etre munichois, c’est marcher sur les traces de ces lâches, de ces dégonflés, de ces pacifistes, de ces capitulards qui, en 1938, à plat ventre devant le Führer et le Duce, abandonnèrent à son sort la Tchécoslovaquie, choisirent le déshonneur pour éviter la guerre et qui, ce faisant,...
Publié le : 22 août 2013 Source : realpolitik.tv Une nouvelle fois, après l’Irak, la Yougoslavie et la Libye, l’Occident a recours au mensonge le plus grossier qui puisse être : l’accusation d’usage d’armes de destruction massive. La vérité est que le régime syrien est en train de gagner la bataille contre les terroristes islamistes et qu’il n’a pas besoin d’armes chimiques pour cela. Fort du soutien de l’Iran, du Hezbollah libanais et de la Russie (soutien politique sans failles), il est en train d’écraser son opposition islamiste, minoritaire dans le pays (bien que les sunnites soient majoritaires) et cela face à une rébellion islamiste internationale qui n’a plus d’autre issue que de tenter d’impliquer la France, le Royaume-Uni et les États-Unis dans la guerre. Il faut dénoncer avec la plus grande fermeté ce mensonge de la rébellion islamiste et son soutien par le gouvernement français, soutien qui s’apparente...
Publié le : 28 août 2013 Source : bvoltaire.fr La guerre en Syrie est en train de remettre la Russie au centre du jeu diplomatique international. Depuis l’annonce d’une opération militaire américaine, et devant un unanimisme bêlant de chefs d’États occidentaux sans envergure, le président Vladimir Poutine fait désormais figure de sage. Aujourd’hui, il est le seul à vouloir privilégier la voie diplomatique, et il est surtout le seul à remettre en cause la version livrée par Washington sur l’utilisation de gaz sarin par l’armée syrienne. En fait, cette « affaire syrienne » n’est que l’ultime étape d’une opération stratégique d’envergure menée dans la région. En effet, les États-Unis sont à la manœuvre (comme ils avaient fait en Ukraine ou en Géorgie) pour organiser et soutenir les révolutions du grand « Printemps arabe ». Washington désigne les bons démocrates, fustige les méchants dictateurs, et les anciens alliés d’hier deviennent les parias du jour....
Publié le : 21 août 2013 Source : bvoltaire.fr La tension montante au Proche et Moyen-Orient repose sur des rivalités où se mêlent le contrôle des hydrocarbures, les rivalités entre sionisme, monde musulman et répartition des zones d’influence accordées aux grands acteurs internationaux. La création de l’État d’Israël en 1948 et l’expulsion de nombreux Palestiniens présents sur ces terres depuis des siècles sont une blessure qui ne se cicatrise pas. Qui plus est, des dirigeants sionistes caressent l’espoir de casser l’intégrité territoriale des États arabes comme l’a présenté la revue Kivunim, A Journal for Judaism and Zionism, en 1982, sous la direction de Yoram Beck. N’oublions pas aussi la carte du Proche-Orient, recomposée selon des critères ethniques et religieux et présentée par la revue militaire américaine Armed Forces Journal, en 2006 ; voir notre article : « Printemps arabes : qui tire les ficelles ? » Rappelons encore que les tenants du sionisme, tel Theodor...
Publié le : 30 août 2013 Source : legrandsoir.info Cet article est une collaboration entre Dale Gavlak pour Mint Press News et Yahya Ababneh. Gouta, Syrie – Tandis que la machine de guerre américaine se met en place après l’attaque par armes chimiques la semaine dernière, les Etats-Unis et leurs alliés sont peut-être en train de se tromper de coupable. C’est ce qui semble ressortir des entretiens avec des gens à Damas et à la Gouta, une banlieue de la capitale syrienne où, selon l’ONG humanitaire Médecins sans frontières, au moins 355 personnes ont trouvé la mort la semaine dernière par ce que l’organisation croit être un agent neurotoxique. Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France ainsi que la Ligue arabe ont accusé le régime du président syrien Bachar al-Assad d’avoir mené une attaque avec des armes chimiques qui ont visé principalement des civils. Des navires de guerre américains...